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LES CHIENS DE THERAPIE
 
 
Vendredi 7 Décembre 2018
 
 
Grâce à ce programme, les chiens pourront bientôt
détecter les cellules cancéreuse
 
Des chercheurs de l’Institut Curie ont mis en place un programme afin d’avancer sur la détection des cellules cancéreuses. Des cellules détectées par des chiens, grâce à leur odorat. Une phase-test a eu lieu en 2017 sur 130 femmes. Le taux de réussite est de 100%. A terme, l’objectif est d’apporter un support supplémentaire au diagnostic.

KDOG est un projet novateur. Un programme dans lequel le chien a toute sa place. Jusqu’à présent, des canidés sont formés pour détecter le diabète ou même l’épilepsie. Certains animaux peuvent même détecter des tumeurs du sein, chez la femme. Cette fois, le programme KDOG a pour objectif de détecter toutes les cellules cancéreuses grâce au simple odorat des chiens.
Cette technique est actuellement travaillée par des chercheurs de l’Institut Curie, et notamment par Isabelle Fromantin. Cette dernière assure qu’il n’y a pas vocation à « remplacer l’imagerie », mais bien à apporter un outil complémentaire dans le diagnostic.
Outil qui prend l’apparence d’une méthode « non-invasive et facile, ce qui peut être intéressant ici en France, mais ce qui peut être particulièrement intéressant dans des pays où de toute manière il n'y a pas assez d’appareils pour pouvoir dépister toutes les populations », confie-t-elle à nos confrères de France TV.

Une étude clinique à venir
Pour arriver au but recherché, dresser le canidé est obligatoire. Une compresse de cellules cancéreuses est placée à côté de 3 compresses aux cellules normales. Le chien va « chercher son objet de jeu ». Une fois qu’il réussit à obtenir sa récompense, on lui place la molécule cancéreuse à côté de son jouet. « Il fait une association », assure Didier Valentin, dresseur. Association qui lui permet d’obtenir sa récompense.
Selon nos confrères, l’étude a pour le moment eu une réussite de 100% sur les 130 femmes volontaires. Désormais, ne reste plus qu’à faire valider la phase-test par une étude clinique. Elle devrait durer environ 3 ans.

Ecrit par Alexandre Dieu
Publié par :
woopets.fr
Mercredi 31 Octobre 2018
 
Les chiens pourraient détecter le paludisme
en reniflant les chaussettes
 
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Crédits : iStock - Illustration source : sciencepost.fr
 
Une récente étude suggère que des chiens spécialement formés pourraient diagnostiquer le paludisme en flairant des chaussettes portées par des personnes infectées par le parasite.

On savait les chiens doués pour diagnostiquer certains cancers, ou pour anticiper des crises d’épilepsie avant qu’elles ne surviennent. Il semblerait que nos chers amis à quatre pattes aient également la truffe suffisamment puissante pour reconnaître “l’odeur” du paludisme (responsable de 445 000 décès en 2016), et ce même si les personnes infectées ne présentent aucun symptôme. Une arme de plus pour lutter contre la maladie.
« De nombreux pays sont sur le point d’éliminer ou ont éliminé le paludisme – par exemple, le Sri Lankace qui est une réalisation extraordinaire, explique Steven Lindsay, entomologiste à l’Université de Durham (Royaume-Uni). Mais les moustiques ne vont pas disparaître ». Le problème, pour endiguer la maladie, est que certaines personnes peuvent être porteuses du parasite, mais ne présenter aucun symptôme. « Si vous avez un parasite du paludisme sur 1 000, vous ne pouvez pas piquer le doigt de  1 000 personnes pour un échantillon de sang afin de l’identifier – vous avez besoin d’une [approche] non invasive », poursuit le chercheur.

Et cette approche, c’est la truffe du chien. « Les personnes infectées par les parasites du paludisme produisent des odeurs dans la respiration et la peau qui sont des signaux spécifiques », explique-t-il.
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Les chiens pourront-ils bientôt permettre de diagnostiquer le paludisme en Afrique ?
Crédits : smerikal Flickr - Illustration source :
sciencepost.fr
 

Pour en arriver à une telle conclusion, les chercheurs ont demandé à plusieurs centaines d’écoliers en Gambie, certains porteurs du parasite, d’autres non, de porter une paire de chaussettes une nuit durant. Seules les chaussettes des non-porteurs du parasite et de jeunes infectés – qui ne présentaient aucun symptôme – ont été gardées puis envoyées en Angleterre pour analyses.
Entre temps, deux chiens – un Labrador et une Golden retrieveront été formés pour détecter la maladie. Ceux-ci ne devaient marquer un arrêt que si ladite chaussette “sentait” le paludisme. Il y avait au total 30 chaussettes d’enfants infectés par le paludisme, et 145 d’enfants non infectés. Il en est ressorti que chaque chien avait correctement identifié les chaussettes des enfants atteints de paludisme – sans qu’ils en présentent les symptômes – dans 70 % des cas. Le taux de réussite était de 90 % pour les chaussettes d’enfants non infectés.
Notons par ailleurs que des tests ultérieurs ont révélé que certains des enfants étaient porteurs du parasite, mais à un stade plus avancé. Les deux chiens n’avaient en revanche pas été formés pour détecter leur odeur. Si tel avait été le cas, les résultats auraient sans doute été encore plus convaincants.
Les chercheurs prévoient maintenant d’élargir la zone d’échantillonnage à d’autres régions d’Afrique. Mais à terme, les chiens renifleurs pourraient permettre un diagnostic non invasif des personnes ne présentant aucun symptôme, mais qui restent toujours contagieuses.

Par Brice Louvet
Publié par : sciencepost.fr

 

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