* Michel BLANC : - 06 62 61 65 91 - regine.blanc-michel@orange.fr *

Je reste à votre disposition pour toutes questions, conseils ou informations.
Retour%20AccueilN'hésitez pas à me contacter


 
LA CHASSE EN CELEBRITES & EN CHIFFRES


 
L'interview de Pascal Olmeta
 




Pascal Olmeta, ancien footballeur et « people » habitué des plateaux de télévision nous a accordé une interview exclusive pour nous confier son bonheur d’être chasseur. Entre confidences, humour et coups de gueule, Pascal nous parle de lui et nous parle de vous…

Nos Chasses : Es-tu un chasseur honteux ?

Pascal Olmeta : Pas du tout ! J’ai d’ailleurs toujours défendu la chasse même lorsque j’étais joueur de foot en première division dans les années 80, époque où l’activité cynégétique était moins tendance et plus caricaturée qu’aujourd’hui !

NC : Qu’elles sont les vertus que tu préfères chez un chasseur ?

PO : Un chasseur est un contemplatif qui vit le moment présent et qui sait en profiter sans obligatoirementpenser au tableau. C’est un sage, il prend ce que la nature lui offre ! Il partage cela avec ses camarades. J’apprécie particulièrement le côté authentique, méditatif, convivial, généreux et respectueux du chasseur. 

NC : Qu’est-ce que tu aimes le plus à la chasse ?

PO : J’aime les différentes étapes qui précèdent la chasse. La veille, il faut penser à bien préparer ses affaires. Puis, il y a l’heure du lever qui sonne dans ta tête avant que l’alarme du réveil ne se déclenche. Là, je saute de joie hors du lit pour me rendre au rendez-vous de chasse et prendre le café avec les copains. Cette activité cynégétique me rend presque toujours de bonne humeur ! En fait, je dois t’avouer que j’ai une énorme envie de rattraper les moments de chasse perdus ou sacrifiés lorsque j’étais footballeur professionnel. En effet, les week-ends, nous étions en déplacement et/ou en match, alors la chasse je ne pouvais pas m’y adonner comme je l’aurais souhaité…

NC : Ton principal défaut à la chasse ?

PO : Hum, hum, lequel choisir ? Je dirais que c’est celui de souvent vouloir tirer trop vite. Je ne me dis jamais : « demain je vais en tirer un plus gros ». L’animal est devant moi : je tire ! Parfois aussi je râle lorsque l’on me met à des postes prêts des routes ou des usines. Là, ça me casse vite les couilles ! Ce n’est pas le fait de ne pas voir de gibier et de ne pas tirer qui m’emmerde, c’est de ne pas me trouver immergé en pleine nature. Dans cette situation, je suis de mauvaise humeur et ça se lit vite sur mon visage. Pas de gibier, ce n’est pas grave mais devoir se faire chier avec les nuisances stressantes de la société moderne alors que tu viens avant tout pour profiter du calme et de la beauté d’un paysage, là je m’énerve ! J’attends tellement de la chasse que je suis peut-être un peu excessif mais c’est comme ça, je suis un caractère entier !      

NC : Et tes principales qualités ?

PO : Être patient et toujours espérer. J’aime également faire le pitre. Dès qu’une occasion se présente, je suis le premier à faire le con ! D’ailleurs, si l’occasion ne se présente pas, il y a de fortes chances pour que je la crée ! A la chasse, il faut mettre de la joie, on n’est pas là pour se prendre la tête. On imite les autres, on chambre, on sort des blagues, bref nous on déconne à plein tube et on s’amuse ! C’est peut-être ça qui agace certains écolos dogmatiques qui ont toujours l’air triste et sévère comme des quakers anglais avec leur leçon de morale à deux balles !

NC : Ton calibre à toi c’est 12, 16 ou 20 ?

PO : Le 12 ! J’aime sa puissance. J’ai été gardien de but et lors d’une confrontation j’ai besoin du choc, du bruit, de l’engagement. L’idée du duel me séduit : tu gagnes ou tu perds sur un coup, sur une action mais tu envoies toute ton énergie et toute ta force dans l’instant.

NC : T’es plutôt juxtaposé ou horizontal ?

PO : Franchement, ça m’est égal ! Je ne suis pas très porté sur le matériel et je m’adapte à tout. J’ai quand même un petit faible pour le Spécial Bécassier calibre 12 Verney Carron parce que c’est du bon « matos » produit par une entreprise familiale. De plus, c’est une marque française et je reste très français !

NC : Ton cœur balance pour le petit ou pour le gros gibier ?

PO : Le gros ! Il est généreux, il est athlétique, il est intelligent. Il va au combat, il avance. Je pense que tu aimes les gibiers qui te ressemblent (rires) !

NC : Quelle race de chien tu prends pour t’accompagner à la chasse ?

PO : Un labrador beige parce qu’il a un regard de Pierrot et une bouille de nounours. C’est un chien connu pour sa gentillesse, sa polyvalence et ses qualités physiques. J’aime le regarder en attendant le gibier. J’ai aussi un faible pour les pointers français.

NC : Ton pire cauchemar de chasse ?

PO : Je me suis fait attaquer en Turquie par une bête sauvage qui n’existe pas dans nos forêts. Ce cauchemar fut bien réel et j’en ai rêvé pendant les deux nuits qui ont suivi. J’étais parti à la chasse au sanglier et je n’en avais pas tiré un de la semaine ! Un vieux turc me dit qu’il sait où le gibier sort. Il me place en bas d’une côte et reste avec moi. On entend les chiens et les traqueurs derrière la crête. Puis, comme un éclair j’aperçois à 150 m, en haut du sentier, un monstre. Je me mets à trembler. C’est alors que se sentant menacé par les rabatteurs, il se met debout : « Putain de merde ! » Il décide ensuite de dévaler la pente et m’ayant sans doute repéré, il fonce sur moi. Le vieux turc panique et part en courant. Je suis incapable de bouger devant cet ours gigantesque et furieux. Je lève ma carabine semi automatique Verney Carron 270 WSM. Quand il est à 50 m de moi, je presse la détente. L’ours gueule et continue à avancer vers moi !!! A 20 m je vise plein cœur et appuie une seconde fois sur la détente : ça lui éteint la lumière…Un arbre placé devant moi me sauve la vie…l’ours entraîné par sa lancée me frôle et je sens le souffle de sa gueule, puis il tombe dans un ravin. L’action a été tellement rapide que je n’ai tiré que deux coups sur les trois de ma carabine semiautomatique. J’ai pensé très fort à mes enfants et j’ai tout fait malgré la peur qui s’est emparée de moi pour rester en vie. C’était lui ou moi !

NC : Ton coup de gueule ?

PO : L’histoire de ce chasseur dans les Pyrénées qui a tué l’ours qui l’a chargé. Vous comprendrez qu’après ce que j’ai vécu, je peux comprendre ce qu’il a éprouvé ! On croyait davantage les écolos que le chasseur qui a défendu sa vie. Bande de cons ! Si l’ours avait pu parler, comme dans les films de Walt Disney, les écolos et les juges auraient cru sa version ! Y a quand même des tarés qui n’ont pas beaucoup les pieds sur terre : faut sortir le nez des bouquins et des dogmes. Faut grandir, on n’a plus dix ans ! Des écolos immatures qui veulent s’occuper de nature, ça me fait flipper… un jour leurs conneries vont provoquer des drames humains. Vous pensez que j’exagère ? Alors suivez attentivement les dossiers de la réintroduction et de la gestion des ours, des loups et des vautours pour ne citer que ces exemples…Votre journal a dénoncé avec force le gazage scandaleux des oies sauvages ou leur extermination par la faim aux Pays Bas. Les écolos ne se sont pas beaucoup émus et n’ont pas protesté !!! Ces mecs sont des idéalistes, y a pas à dire !!! Dans quelle société vit-on ? Jamais je ne me tairai et jamais je me coucherai devant ces gens là ! Je suis un homme libre et je défendrai la vérité quoi qu’il en coûte. Je ne vais pas me laisser impressionner par ces incapables de politiques et d’écolos qui ne pensent qu’à nous infantiliser, à nous culpabiliser et à réduire notre libre arbitre.  

NC : Un mot qui résume la chasse pour toi ?

PO : Passion !

 Propos recueillis par François GAIGNAULT
Source : www.noschasses.fr

   


1. La France, 1er pays européen de la chasse
La France est le premier pays de chasseurs en Europe, devant l'Espagne et l'Italie. En 2006, on comptait 1 361 000 licenciés, soit 22 000 de plus qu'en 2005 (+ 0,54%), ce qui fait de ce sport le deuxième en France, derrière le football et devant la pêche. Les chasseurs sont organisés en 95 fédérations départementales et 80 000 sociétés de chasse (soit plus de 2 par commune en moyenne).

2. Les chasseurs, qui sont-ils ?
A quoi ressemble le chasseur type ? 98% des chasseurs sont des hommes et plus de la moitié ont moins de 55 ans. Ils viennent de tous les milieux socio-professionnels, avec une forte prépondérance des milieux agricoles et ouvriers (40% des chasseurs sont ouvriers). Ils sont installés en priorité dans le Sud-Ouest (22% des chasseurs), et ont plus de 30 ans d'ancienneté de permis de chasse. Au niveau de l'équipement, le chasseur type possède un chien (pour 78% des chasseurs), et un fusil (94%). Pour plus de la moitié d'entre eux, la chasse est une tradition familiale autant que la conséquence d'une passion de la nature.

3. Les animaux "chassables"
En France, 91 espèces sont dites "chassables", de la perdrix au lapin de garenne en passant par le cerf ou le sanglier. Le petit gibier est la cible la plus importante des chasseurs, mais il existe peu de données concernant les animaux tués chaque année. Les derniers chiffres précis existants proviennent d'une enquête menée par l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) auprès de plus de 105 000 chasseurs, en 1998-1999. L'organisme avait alors dénombré, pour 39 espèces, environ 30 millions d'animaux tués au fusil. Au premier rang apparaissaient les pigeons ramiers (5 millions de spécimens tués), suivis de très près par les faisans (dont la majorité des spécimens tués provenaient de lâchers), puis par les grives. Concernant les mamifères, c'est le lapin de garenne qui est le plus chassé (3 millions de lapins tués en 1998-1999).

4. La chasse : ce qu'elle coûte, ce qu'elle rapporte
Les chasseurs dépensent environ 1 600 euros par an pour pratiquer leur passion, arme comprise. C'est leur chien qui leur coûte le plus cher (25% du budget). La dépense moyenne du chasseur était d'environ 1 200 euros en 1992. Un chiffre qui a notamment augmenté pour le poste de l'équipement (arme, habillement, etc.).

Sur le plan économique, le secteur de la chasse emploie 24 000 personnes et génère un flux financier de 2 milliards d'euros. Il correspond aux droits de chasse, à l'achat et à l'entretien de l'équipement, aux déplacements des chasseurs, aux armes, chiens et institutions cynégétiques.

Source : linternaute.com

   
 
 

L’impact économique et social de la chasse en France

Depuis 20 ans aucune étude approfondie sur la filière chasse n’avait été conduite.
Cette étude, réalisée par le BIPE – Cabinet de Conseil en analyse stratégique et prospective économique – a été initiée par la Fédération Nationale des Chasseurs, en lien avec l’ensemble du réseau des Fédérations. Elle a reçu le soutien financier du Ministère de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie, du Ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt, et celui des organismes suivants : ONCFS, INTERPROCHASSE, Fondation François Sommer.

 

La filière chasse un atout made in France

La filière chasse française génère chaque année :
  • 3,9 milliards d’euros de chiffre d’affaires
  • elle apporte 2,3 milliards d’euros au PIB (Produit Intérieur Brut), c’est sa contribution à la richesse nationale

Lorsque nos entreprises délocalisent, la chasse, elle, répond présente dans la lutte contre le chômage, en garantissant 27 800 emplois permanents.

Pour nos régions elle est un employeur qui compte !

Cette étude prouve que dans le domaine économique et social, le maintien et le développement de la chasse sont un atout essentiel pour nos territoires ruraux.

Dans le domaine environnemental les chasseurs se révèlent être l’un des pivots de l’entretien des territoires, des habitats naturels et de la faune sauvage. Cette étude le démontre, l’engagement bénévole des chasseurs en faveur de l’environnement et de la vie locale c’est l’équivalent de 57 000 emplois (ETP).La mise à disposition de ces heures de bénévoles chasseurs représente une valeur ajoutée de 1,8 milliard d’euros par an pour la nation..

Au delà de ces chiffres se dessine le portrait d’une chasse « made in France » !

Les résultats de cette analyse donnent une autre dimension au rôle que peuvent remplir les 1 200 000 chasseurs face aux défis environnementaux et sociétaux.

Le chemin du développement durable passe plus que jamais par la voie de la filière chasse !

 
 

Le chasseur du XXIème siècle

La France compte plus de 1,2 million de chasseurs pratiquants.
86% des chasseurs me?tropolitains disposent d’un permis de?partemental et environ 8% posse?dent un permis national.

  • Les chasseurs sont majoritairement actifs 55%
  • 47% des chasseurs ont moins de 55 ans
  • Les femmes représentent 2% des chasseurs
Les différents modes de chasse pratiqués
  • Chasse à tir 84%
  • Chasses traditionnelles 7%
  • Chasse à l'arc 3%
  • Chasse au vol 1%
  • Vènerie 5%

Les différents types de gibier chassés
  •  
  • Petit gibier 32%
  • Grand gibier 31%
  • Petit gibier montagne 1%
  • Migrateurs terrestres 20%
  • Grand gibier montagne 3%
  • Gibier eau 13%


La répartition des chasseurs par type de structures
  • Chasses associatives 48%
  • Chasses privées 36%
  • Domaines publics 10%
  • Chasses commerciales 6%
Le chasseur, un acteur économique
Un chasseur dépense en moyenne 2 168 euros par saison

 
 
Les grands postes de dépenses des chasseurs
  • Dépenses liées au territoire de chasse 41%
  • Dépenses liées à la pratique de la chasse 47%
  • Dépenses liées à l'exercice de la chasse 12%
 
Le chasseur écocitoyen
47% des chasseurs s’impliquent dans le bénévolat
Un chasseur consacre en moyenne 76 heures /an au be?ne?volat

 

Temps de bénévolat par groupe d’activité
  • Activités sociales et culturelles 39%
  • Gestion du gibier et de la faune sauvage 31%
  • Gestion des habitats et des milieux 30%

Publié par : http://chasseurdefrance.com

 
 
 
 
 
 
 

Retour%20Accueil


Me%20contacter%20par%20mail


https://static.pecheur.com/responsive/chasseur/dist-img/logo/Logo-Chasseur.png

   




https://www.traqueur-chasse.fr/wp-content/uploads/2020/04/Logo-traqueur-small.jpg
Vêtement de chasse

 


Chasseur.com
Traqueur-chasse.fr
chasseur-et-compagnie.com