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ALERTE PESTE PORCINE
 

Jeudi 7 Février 2019
La Gaume est la partie romane de la Lorraine belge. Elle se situe en Belgique (Région wallonne) dans l'extrême Sud de la province de Luxembourg, à la frontière française.

Un agent du DNF privé de liberté durant 24 h
dans le dossier de la peste porcine

 
Un agent du DNF privé de liberté durant 24 h dans le dossier de la peste porcine
Grosse évolution dans l’enquête judiciaire relatif à la peste porcine africaine qui sévit plus que jamais en Gaume. BELGA/JEAN-LUC FLEMAL - Illustration source : lavenir.net

Grosse évolution dans l’enquête judiciaire relative à la peste porcine africaine qui sévit plus que jamais en Gaume, le juge d’instruction chargé du dossier, a délivré un mandat d’amener. Son identité est connue.

Le suspect est un agent forestier du DNF, d’une soixantaine d’années, Jean-Louis François, de Buzenol.  Il a été interpellé ce matin à son domicile par la police.

Un acte important, puisque le mandat d’amener est délivré lorsqu’il existe de sérieux indices de culpabilité et il couvre une période de privation de liberté de 24 h en vue de procéder à l’interrogatoire de la personne suspectée.
Pour l’instant, le parquet se refuse à tout commentaire.

Publié par : lavenir.net

Mardi 5 Février 2019

Abattage des sangliers pour endiguer la peste porcine :
les chasseurs y vont avec "la boule au ventre"

 

 
Face à la peste porcine africaine détectée sur des sangliers en Belgique, quelques 500 à 600 bêtes doivent être abattues "d'ici deux à trois semaines" dans une "zone blanche" de 141 km² à la frontière franco-belge.

La menace de la peste porcine plane toujours à la frontière entre la France et la Belgique. Pour endiguer la propagation de cette maladie, inoffensive pour l'homme mais qui pourrait avoir des conséquences désastreuses pour la filière porcine, le ministère de l'Agriculture a mis en place une "zone blanche" de 141 km² à la frontière franco-belge pour abattre les sangliers. Des pièges sont posés, des tirs de nuit sont effectués, et de gigantesques battues sont organisées.

"Personne n'a envie de le faire".
Dimanche matin, à Breux dans la Meuse, 140 hommes armés de fusils, et 80 traqueurs, parmi lesquels des militaires, ont été mobilisés pour abattre les sangliers. Et pour les chasseurs du club local, cette opération est un crève-cœur. "Toutes les règles de gestion de l'espèce sont oubliées. Là, on nous oblige à tirer sur des femelles et des petits marcassins. Croyez-moi, c'est très compliqué au sein du groupe des chasseurs de Breux, car certains ne partagent pas cette façon de chasser. Personne n'a envie de le faire", s'émeut Guy Perreira, le président du club de chasse.

"Il ne faut pas penser qu'à nous".
Comme ses collègues, il participera pourtant à ce qu'il qualifie d'"extermination". Pour David, chasseur depuis 20 ans, il s'agit malgré tout d'un devoir. "Tous les jours, on y va avec la boule au ventre, mais c'est pour sauver ce qu'il y a derrière. Il ne faut pas penser qu'à nous, petits chasseurs, mais à toute la filière économique", justifie-t-il. Traquer le sanglier reste une tradition dans la Meuse et les Ardennes. Sans ce gibier, de nombreux chasseurs pourraient ranger les fusils au placard.

Publié par : europe1.fr

Lundi 3 fevrrier 2019
 

En Wallonie, plus de 400 carcasses de sangliers
contaminées par la peste porcine


© D.R.
© D.R./ - Illustration source : lesoir.be
 
Selon le ministre René Collin, 393 sangliers ont également été abattus dans la zone d’observation renforcée.

A ce jour, 406 carcasses de sangliers ont été contrôlées positives au virus de la peste porcine africaine, sur les 1.229 carcasses analysées, dont 1.031 dans le périmètre infecté, annonce vendredi le ministre wallon de l’Agriculture, René Collin (cdH).
? Les camps de mouvements de jeunesse sont interdits cet été dans les zones infectées
Ce dernier vient de recevoir de nouvelles informations du Réseau de Surveillance Sanitaire de la Faune Sauvage en Wallonie. «A ce jour, 1.229 sangliers ont été prélevés dont 1.031 dans le périmètre infecté. 406 carcasses se sont révélées viropositives», a détaillé le ministre.

Selon lui, 393 sangliers ont également été abattus dans la zone d’observation renforcée. Deux sangliers ayant été contrôlés positifs, le périmètre des zones tampon et de vigilance a été élargi le 11 janvier dernier et 104 individus découverts dans la zone de vigilance ont été analysés. Tous ces cas se sont révélés négatifs, a assuré M. Collin.

Publié par :
lesoir.be

Dimanche 3 Février 2019
   Meuse - 55
 
Peste porcine 
Une battue administrative à la frontière avec l'aide de l'armée

 
Les consignes sont claires, avant le démarrage de la chasse : Abattre tous les sangliers, laies et marcassins dans la zone blanche .
 
La place de la basilique d'Avioth a connu ce samedi matin, un rassemblement inhabituel de chasseurs, de traqueurs ainsi que de 40 militaires réunis pour le départ de la battue administrative décidée par le préfet de la Meuse et ce, afin de prévenir la peste porcine africaine.
Au total,70 chasseurs ainsi que 50 traqueurs sont également présents. Ils viennent d'un peu partout : de Meuse mais aussi des départements voisins, de Belgique, du Grand-Duché du Luxembourg. Les services de l'ONF, de l'ONCFS sont également présents . Les militaires du 1er Régiment du service militaire volontaire de Montigny-lès-Metz sont commandés par le capitaine Etienne : « C'est une première. Nous sommes venus ici pour renforcer les équipes de traqueurs » Une autre battue géante est prévue ce dimanche, à Breux.

Publié par : estrepublicain.fr

Vendredi 1er Février 2019
 
Peste porcine
Les sangliers à abattre sont introuvables,
les chasseurs des Ardennes s’interrogent

54 sangliers abattus en 5 jours, c’est bien loin des 500 à 600 sangliers à éradiquer en zone blanche meusienne et ardennaise. Photo l’Ardennais
54 sangliers abattus en 5 jours, c’est bien loin des 500 à 600 sangliers à éradiquer en zone blanche meusienne et ardennaise. Photo l’Ardennais - Source : lavoixdunord.fr
 
Le bien maigre tableau de chasse de la dernière battue anti-peste porcine suscite la suspicion. 54 sangliers abattus en 5 jours, c’est bien loin des 500 à 600 sangliers à éradiquer en zone blanche meusienne et ardennaise.

Cent chasseurs et une quarantaine de traqueurs. Autant dire que les 800 hectares de la forêt du Banel ont été quadrillés. Aucun sanglier levé durant la matinée, et à la fin de la journée seulement 4 individus abattus. Pas besoin d’être spécialiste pour s’interroger quant au tableau de chasse issu de la deuxième battue administrative organisée ce mardi.
Où sont passés les sangliers ? L’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) par la voix de Xavier Lepape pense pourtant que l’éradication de « 300 à 400 » bêtes « c’est faisable, de toute façon on ne sera jamais à une éradication à 100 %, mais 90 à 95 %, clairement c’est faisable. »
La question est d’autant plus prégnante qu’il s’agit d’éviter la propagation de la peste porcine africaine qui sévit en Belgique à la France.

 

Source : lavoixdunord.fr

Le ministre a ainsi décrété l’éradication de la population de suidés dans la zone blanche. Objectif : 500 à 600 sangliers abattus. Et ce alors que la clôture n’est toujours pas achevée et les militaires se font attendre.
« On s’attendait à ce qu’il en ait plus »
« On s’attendait à ce qu’il en ait plus », glisse ce chasseur ayant participé à la chasse. Sur les chiffres, l’office national de la chasse et de la faune sauvage se refuse à tout commentaire. Pas mieux du côté de Cyril Dussard, responsable de la chasse locale.
La mesure est un crève-cœur pour les chasseurs, la création de ce vide-sanitaire condamnant la chasse sur plusieurs années. Aussi, les doutes s’expriment : ont-ils joué le jeu ? « Bien sûr que oui, martèle Sylvain Debrielle, directeur de la fédération départementale de la chasse. On arrive en fin de saison, les gens s’imaginent qu’il y en a pléthore. Et puis, les sangliers ça bouge . »

Une explication ?
L’autre explication nous est livrée sous le couvert d’anonymat. La zone aurait été « traitée » en amont : «A Noël, le boulot avait déjà été fait avec les moyens qui allaient avec », explique ce chasseur.
Publié par : lavoixdunord.fr

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