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Vidéo :
Pourquoi choisir un Munsterlander pour la chasse ?

 
 

Source :
chassons.com
 
On le voit désormais un peu partout en France. Nouveau chien de chasse à la mode, le münsterländer excelle aussi bien au petit qu’au grand gibier. Doué pour l’arrêt, le rapport et la broussaille, le juge pour la Centrale Canine Alexandre Martel nous dévoile en profondeur dans cette vidéo le tempérament et les qualités de ce super chien.
 

 - L’arrivée de l’épagneul de Münster est assez récente en France. Les premiers sujets ont été introduits dans les années 70 sous l’impulsion de deux éleveuses, Mme de France et Mme Boulanger. A l’origine, les münsterländers étaient principalement connus dans l’Est auprès des chasseurs qui étaient de l’autre côté du Rhin et qui ont pu en importer quelques sujets. Désormais le petit épagneul de Münster est passé de 800 naissances à plus de 2000 naissances en 2022. Le munsterlander est la troisième race de chien d’arrêt la plus utilisée en France.

 Comment le münsterländer chasse-t-il ?

 - Ce chien chasse sous le fusil et est très proche de son maître. Il broussaille facilement mais aussi arrête un peu le gibier. A l’inverse le grand épagneul de Münster à une quête plus étendue plus dynamique et nous rencontrons en général des sujets qui sont souvent plus arrêteurs.A la chasse, il dispose de faculté au pistage que ce soit dans la recherche du gibier blessé, pour la traque du grand gibier. C’est aussi un chien qui rapporte à l’eau.
 - Le petit et le grand épagneul de Munster sont des chiens qui mènent naturellement le gibier à poils Ils disposent également d’un atavisme particulier contre les puants qu’ils tirent de leurs origines germaniques.

Comment le münsterländer vit-il avec la famille ?

 - A la chasse comme dans la vie, ces chiens aiment rester proches de leur maître. Ils supportent mal la brutalité dans leur éducation et aiment faire plaisir. Ils ont besoin de sentir qu’ils sont aimés de leur maître pour exploiter leur meilleur potentiel. Les chiens allemands ont la réputation d’être durs de caractère et difficiles à dresser. Si cela a pu être vrai dans les années 50 ou 60, aujourd’hui nous trouvons désormais des lignées qui sont beaucoup plus dociles. Ce sont des chiens qui sont très faciles et très maniables.
 - Les gens qui prennent leur premier épagneul de Münster sont assez surpris de cette ambivalence d’avoir un chien aussi facile à pouvoir emmener au bureau en voiture à la maison ou en vacances et de bénéficier parallèlement d’un chien à la chasse qui est très dynamique avec une passion débordante.

Comment s’assurer que le münsterländer correspondra à vos attentes ?

 - Pour être sûr, d’avoir un chien qui correspond à nos attentes, il est indispensable de s’adresser à des gens sérieux qui font de l’élevage par vocation et non pas de l’élevage pour un intérêt financier. Il faut se rapprocher déjà du club de race et bien sûr demander conseil. Il est idéalement conseillé de voir les parents et il faut savoir quelle sélection a été faite pour eux. Toutes les annonces où l’on voit que le grand-père est champion n’a aucune valeur. Aujourd’hui la génétique ne vaut que si on regarde sur plusieurs générations. Si vous n’avez pas les connaissances ou les compétences pour lire un pedigree rapprochez-vous des délégués de clubs.

Rapprochez-vous notamment du club de race ou de la Centrale Canine
Les portées de chiots du petit munsterlander
Les portées de chiots du grand munsterlander

Par Baudouin de Saint Léger
Pour chassons.com

 

Source :
chassons.com

Trop souvent quand nous relatons des faits en rapport avec l’agressivité naturelle du loup gris (canis lupus lupus), l’explosion de ses prédations et sa potentielle dangerosité vis à vis de l’homme, notamment les individus les plus faibles (comme les enfants), nos détracteurs (qui visiblement aiment à lire nos publications) n’hésitent pas à laisser des commentaires, dans l’espace dédié à cet usage, où domine l’ironie et, souvent, ils aiment à citer le conte de Charles Perrault « Le petit chaperon rouge » pour nous interroger sur la crédulité enfantine dont nous ferions preuve vis à vis des risques que l’expansion des populations lupines fait courir aux humains.

 - Mais savez vous par exemple quelle était l’ampleur des pertes humaines dans nos campagnes au XIXe siècle, avant que nos ancêtres, excédés, ne finissent par entreprendre l’éradication totale de l’espèce loup sur le territoire national ? Nous avons trouvé, en cherchant sur internet, un extrait d’un registre communal de la bourgade de Malbosc, en Ardèche, répertoriant les enfants tués ou gravement blessés par le loup sur la commune entre 1812 et 1815, et les chiffres sont édifiants.

 - En effet, en 1812, 3 morts (âgés de 5 à 14 ans) et un blessé grave (7 ans). En 1813, un enfant de 11ans , très grièvement blessé et décédé à la suite de ses blessures. En 1814, un enfant d’une dizaine d’années, si sauvagement mutilé que son identification est resté incertaine. Enfin en 1815, un enfant de 7 ans dévoré sur la commune.
 - 7 victimes en quatre ans ! A une époque où la densité de population en Ardèche était bien moindre que de nos jours…. Oui, le loup est dangereux pour l’homme et l’on peut comprendre que les ruraux, las de perdre leurs chers rejetons dans ses crocs aient pris à l’époque tous les moyens pour se débarrasser de ce prédateur avec qui la cohabitation est plus que difficile, à moins d’une régulation draconienne.

Par Frédéric Buszkowski
Pour chassons.com

Piqure de rappel :
que peut-on et ne peut-on pas faire en forêt ?

 
 

C’est une évidence pour beaucoup d’entres vous, mais ça reste parfois un peu flou pour d’autres. Le mensuel le Particulier a publié un article très complet sur les différents textes qui régissent ce que l’on peut faire et ne pas faire en forêt, on vous en fait un condensé. En cette période de récolte de champignons autant savoir ce que l’on peut faire

 - Le Particulier, revue juridique incontournable depuis 1949, est connu pour ses articles juridiques très documentés et précis. L’article d’hier : «  En forêt, tout n’est pas permis », fait un tour complet de la législation sur le sujet des forêts privées et publiques.

Peut-on se promener librement en forêt ?
 - T
out dépend du propriétaire des lieux. Lorsque la forêt est publique, elle est gérée par l’Office national des forêts (ONF) et a vocation à être ouverte aux promeneurs et aux sportifs en tout genre En revanche, lorsque la forêt est privée, il est en principe interdit d’y pénétrer sans l’autorisation du propriétaire, qu’il s’agisse d’un particulier ou d’une personne morale. « Cela étant, le promeneur n’encourt aucune sanction de ce seul fait, car le délit de violation de domicile ne s’applique qu’aux maisons et aux dépendances, comme une terrasse par exemple. Passer par un bois privé ne sera donc pas répréhensible », explique Juliette Bureau-Simonpietri, avocate au cabinet Drouot avocats.
 - U
ne forêt publique est aisément reconnaissable. On trouve des panneaux à l’entrée indiquant si elle est domaniale, communale ou régionale. Lorsque vous ne voyez pas d’affichage, il faut partir du principe qu’il s’agit d’une propriété privée.
 -
75 % des forêts françaises appartiennent à 3,3 millions de propriétaires privés, qui sont pour les trois quarts des particuliers. En Bretagne, Nouvelle-Aquitaine et Pays de la Loire, 90 % des forêts sont privées ( Source : CNPF, Fransylva)

 

Un bois privé peut-il être clôturé ?

 - Tout propriétaire foncier a le droit de « clore son héritage », comme le dit le code civil (2) dans une formule inchangée depuis 1804. Néanmoins le propriétaire ne doit pas abuser de ce droit, par exemple en piégeant les abords de sa parcelle (fils tendus à quelques centimètres du sol, chausse-trappes…) pour empêcher les intrusions. « En cas d’accident, le juge pourrait considérer qu’il a créé une situation dangereuse engageant sa responsabilité, voire qu’il a eu une intention malveillante », précise une avocate. S’il constate de nombreuses intrusions avec dégradations sur son terrain, un propriétaire a le droit d’y installer des caméras de surveillance. À condition de « prévenir les promeneurs de leur existence, dès l’entrée de la parcelle ».

A-t-on le droit de ramasser du bois ?
  - L
e bois appartient au propriétaire de la forêt, qu’elle soit privée ou publique. Il ne doit donc pas être récupéré sans son autorisation. Et cela vaut aussi pour le bois mort ! Couper un arbre est puni d’une amende de 1 500 € si son tronc mesure moins de 20 cm de diamètre. S’il fait plus, l’acte est sanctionné comme un vol : vous risquez jusqu’à 3 ans de prison et 45 000 € d’amende.

Quid du droit de chasse ?

  - Comme pour les promeneurs, le simple passage sur le terrain d’autrui est autorisé aux chasseurs. En revanche, ils ne peuvent pas y commettre d’acte de chasse sans l’autorisation du propriétaire.

 
 

La cueillette des fruits ou des champignons est-elle autorisée ?

- Comme le ramassage du bois, la cueillette est réglementée. Les fruits « naturels ou industriels de la terre » reviennent au propriétaire « par droit d’accession », selon le code civil. Le contrevenant risque une amende de 750 € s’il prélève jusqu’à 10 litres de champignons, fruits et semences (thym, baies…) sans autorisation. Pour les fleurs, « il faut veiller à ne pas prendre plus que ce que la main peut tenir, soit 10 à 15 tiges par personne. Au-delà, la cueillette peut menacer des espèces, même courantes », met en garde l’ONF.

Peut-on pique-niquer ou camper en forêt ?

- Si la forêt est privée, ces activités requièrent l’autorisation du propriétaire et on ne doit pas laisser de traces derrière soi (dégradations, pollutions, déchets…). La forêt publique, elle, est ouverte aux campements dans les zones prévues à cet effet. Faire du feu est absolument interdit dans les bois, qu’ils soient privés ou publics, même pour un barbecue ou pour réchauffer un campement, sauf accord exprès de l’ONF.

 
 

Peut-on circuler partout à vélo, à cheval ou en auto ?
- Les promeneurs et les campeurs ne sont pas les seuls à devoir être attentifs à leurs faits et gestes : il existe des prescriptions pour la circulation à vélo ou à cheval. L’ONF précise ainsi que les VTT et cavaliers n’ont pas le droit de se déplacer sur les parcelles forestières en dehors des chemins, car ils détériorent la végétation, entraînent le tassement des sols et accélèrent l’érosion. Les véhicules motorisés, eux, sont en principe proscrits.

 
Pour lechasseurfrancais.com


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