* Michel BLANC : - 06 62 61 65 91 - regine.blanc-michel@orange.fr *

Je reste à votre disposition pour toutes questions, conseils ou informations.
Retour%20AccueilN'hésitez pas à me contacter

 

L’échinococcose alvéolaire :

une menace silencieuse à prendre au sérieux dès maintenant !


Source

 

Une épidémie méconnue qui gagne du terrain
 - L’échinococcose alvéolaire, maladie parasitaire redoutable causée par un ver plat du genre Echinococcus, est en train de devenir un véritable fléau pour la santé publique. Cette affection, souvent négligée et sous-estimée, représente un danger croissant pour la population, avec des conséquences potentiellement catastrophiques si rien n’est fait pour l’éradiquer.

Un parasite insidieux et impitoyable
- L’échinococcose alvéolaire est causée par le ver plat Echinococcus multilocularis, qui infeste principalement les animaux sauvages comme les renards et les petits rongeurs. Cependant, l’homme peut aussi être contaminé par ce parasite en ingérant accidentellement des œufs présents dans l’environnement, notamment par le biais de fruits et légumes mal lavés ou de l’eau contaminée.
 -
Le cycle de développement du parasite implique trois éléments clés : les hôtes définitifs, principalement les carnivores (tels que les renards, les chiens et les chats), les hôtes intermédiaires, qui sont les rongeurs, et l’environnement. Les principaux réservoirs du ver adulte de l’échinocoque se trouvent chez ces hôtes.

Le cycle de développement est sauvage et se déroule comme suit :

  1. Le ver adulte se trouve dans les intestins des hôtes définitifs (principalement les renards) et libère des œufs, qui sont éliminés dans l’environnement par les déjections.
  2. Les hôtes intermédiaires (micromammifères tels que les campagnols) ingèrent accidentellement les œufs de parasites en mangeant des végétaux contaminés par des excréments infestés.
  3. Les œufs ingérés se transforment en larves d’échinococcose (métacestodes) qui se développent dans le foie ou les poumons des hôtes intermédiaires. La prédation des rongeurs par les carnivores (renards, chiens ou chats) clôture le cycle en libérant des vers dans l’intestin qui se transforment rapidement en adultes.
  4. Les carnivores (renards, chiens ou chats) ingèrent des protoscolex en se nourrissant de rongeurs, complétant ainsi le cycle du parasite dans l’intestin.

 - Les chiens et les chats peuvent être contaminés par Echinococcus multilocularis, mais leur rôle dans le cycle épidémiologique du parasite est mineur. Les œufs d’échinocoques sont très résistants et peuvent survivre et rester infestants pendant plus d’un an dans l’environnement, surtout à basse température et avec un taux d’humidité élevé. 
 - L
e lavage, même intensif, ne garantit pas l’élimination totale des œufs du parasite déposés en surface. Seule une cuisson à une température supérieure à 60°C des fruits et légumes permet de réduire le risque de contamination et constitue le seul moyen d’élimination domestique du parasite. La congélation domestique, quant à elle, n’inactive pas les œufs du parasite.

Des symptômes sournois et une évolution lente

 - L’échinococcose alvéolaire se caractérise par la formation de kystes au niveau du foie, qui peuvent également toucher d’autres organes tels que les poumons, le cerveau ou les os. Cette maladie évolue lentement et insidieusement et les symptômes peuvent prendre des années à se manifester. Ils incluent des douleurs abdominales, de la fatigue, une perte de poids et des troubles hépatiques. En l’absence de traitement, l’échinococcose alvéolaire peut entraîner une insuffisance hépatique, voire la mort.

Une propagation alarmante

 - La propagation de l’échinococcose alvéolaire est d’autant plus inquiétante qu’elle est souvent silencieuse et difficile à détecter. Les cas recensés ne sont probablement que la partie visible de l’iceberg, avec un grand nombre d’infections passant inaperçues. En outre, l’expansion des zones urbaines et la destruction des habitats naturels des animaux sauvages favorisent la propagation du parasite et augmentent le risque de contamination pour les humains.

Des traitements lourds et insuffisants

 - Le traitement de l’échinococcose alvéolaire repose principalement sur la chirurgie et la prise d’antiparasitaires, tels que l’albendazole. Cependant, ces traitements sont souvent lourds et peuvent entraîner des effets secondaires indésirables. De plus, ils ne garantissent pas une guérison totale et le risque de récidive demeure élevé.

L’urgence d’une mobilisation générale

 - Face à cette menace grandissante, il est impératif de mettre en place des mesures préventives et de sensibiliser la population aux risques liés à l’échinococcose alvéolaire. Les autorités sanitaires, les professionnels de la santé et les médias doivent collaborer pour informer le grand public sur les modes de transmission, les symptômes et les moyens de prévenir cette maladie.

Des mesures de prévention indispensables

Plusieurs actions simples peuvent être mises en œuvre pour limiter les risques de contamination :

  • Évitez de ramasser les fruits trop près du sol, susceptibles d’être contaminés par des excréments d’animaux ;
  • Mettre en place des clôtures autour des jardins résidentiels est une mesure de prévention efficace pour empêcher l’accès des renards aux potagers et réduire le risque de contamination des légumes ;
  • Pour les chasseurs, porter des gants jetables permet de prévenir efficacement la contamination humaine (maladie des « mains sales ») ;
  • Se laver les mains, surtout avant de préparer un repas et après avoir été en contact avec des animaux ou de la terre (jardinage) ;
  • Adopter de bonnes pratiques d’hygiène en cuisine, y compris laver régulièrement les ustensiles pour éviter les contaminations croisées ;
  • Nettoyer soigneusement les fruits et légumes avec de l’eau potable avant de les consommer ;
  • Dans les zones endémiques, il est important d’administrer régulièrement un traitement vermifuge contenant du praziquantel aux animaux de compagnie (chiens, chats), car ils sont particulièrement vulnérables.

Vidéo :

Les Rencontres Saint-Hubert, la chasse, le chasseur et son chien !

 
 

Source :
chassons.com

Dans cette vidéo, que nous avons réalisée en collaboration avec la société centrale canine, nous allons vous parler des Rencontres Saint-Hubert, manifestations présentées ici par leur président national, Monsieur Serge Guilbert et Monsieur Alain Ehrminger, juge de travail à la société centrale canine et l’un des premiers instigateurs de ces rencontres.

 - Ces rencontres sont des épreuves de chasse populaire ouvertes à tous les chasseurs propriétaires de chiens d’arrêt ou de spaniels. Elles constituent un exercice de chasse pratique par l’utilisation du chien de race et la promotion de l’esprit sportif du chasseur dans le respect de la nature.
 - Dans tous les départements de France des rencontres sont organisées sous les responsabilités des délégués locaux avec l’aide des fédérations départementales des chasseurs et/ou des sociétés canines territoriales.
  - Chaque chasseur, accompagné de son chien, effectue un parcours de chasse pratique durant lequel le jury apprécie la sécurité, la technique de chasse, la conduite du chien, les connaissances cynégétiques et cynophiles, la sportivité, ainsi que l’adresse, lors du tir du chasseur.
 - Les journées des Rencontres Saint-Hubert génèrent l’image d’une chasse sereine pratiquée par un chasseur responsable et respecté. Découvrez les Rencontres Saint-Hubert en regardant cette vidéo :

Par Frédéric Buszkowski
Pour chassons.com


Mardi 11 avril 2023
 

Pourquoi investir dans un chien de chasse
quand on a un « chat de chasse » ?

 

C’est un peu avec un ton humoristique que nous pourrions ainsi présenter cette vidéo, malheureusement derrière ce ton humoristique se cache une triste réalité celle des dégâts que cause les chats sur la faune sauvage. Dans une seconde vidéo vous pourrez constater combien les chats sont d’une habilité redoutablement efficace.


 
Pour lechasseurfrancais.com

Lundi 19 juin 2023

Qu’est-ce que la jalousie du chasseur ? 

 
 

Source :
chassons.com

Souvent ce sont des regards remplis d’une haine à peine contenue qui témoignent de cette grande maladie qu’est la jalousie du chasseur. Le bonheur immense, parfois exaltant, de la réussite du chasseur attise inévitablement une jalousie chronique autour de soi. Le chasseur jaloux est souvent un nemrod médiocre dont l’incompétence frise parfois la nullité. La réussite des autres chasseurs le rend quasiment fou de rage. Il invoque toujours la fameuse « chance » pour justifier le succès cynégétique d’autrui et reste incapable de faire son autocritique de façon constructive.

Comment s’exprime la jalousie du chasseur ? 

 - La jalousie s’exprime aussi de façon collective à l’égard d’un chasseur. Je n’oublierai jamais le silence et l’accueil glacial du groupe de chasseurs qui salua mon arrivée tardive au casse-croûte du déjeuner à l’entracte d’une journée de battue au grand gibier où j’étais invité. Saint Hubert m’avait octroyé son immense générosité ce matin-là et je nageais littéralement dans le bonheur. Pas un mot ne me fut adressé. Je pris place pour déjeuner auprès de deux chasseurs qui s’étaient montrés d’agréables convives la veille au soir. Ils continuèrent leur conversation sans m’adresser la parole et je dus moi-même prendre la bouteille de vin blanc d’Alsace posée sur la table pour remplir mon verre vide et savourer secrètement mon bonheur ! Plus rarement, le jaloux est un chasseur compétent et orgueilleux.

Les jaloux indispensables à la chasse ? 

 - Fort de son succès, il ne supporte pas celui des autres. Ce type de chasseur m’a toujours surpris car la réussite à la chasse est souvent une source de sérénité qui fait malheureusement défaut à ces individus. Le chasseur jaloux est aussi parfois une sorte de pervers. Je n’ai pas oublié celui qui un jour dérégla discrètement la lunette de ma carabine ! La jalousie est le corollaire inévitable de l’ambiance passionnelle qui anime le monde de la chasse. Il faut savoir s’en accommoder avec philosophie. « Mieux vaut faire envie que pitié », dit un proverbe plein de justesse. Pour tout dire, la chasse sans les jaloux ne serait plus la vraie chasse. Ils sont nécessaires. Il faut savoir les traiter avec compassion et comprendre leur souffrance psychologique. La chasse recèle mille plaisirs qu’ils ne connaîtront quasiment jamais. Le vrai bonheur de chasser est riche de patience, de persévérance, de savoir faire, de réflexion et surtout d’humilité. Sans oublier la sincérité de rares amitiés. Le jaloux vit dans sa détresse cachée, loin de la belle aventure que peut être la passion de la chasse. Jamais au grand jamais, il ne comprendra l’univers magique de notre grand patron saint Hubert.

Par La Rédaction
Pour chassons.com

 

Retour%20Accueil


Me%20contacter%20par%20mail


https://static.pecheur.com/responsive/chasseur/dist-img/logo/Logo-Chasseur.png

   




https://www.traqueur-chasse.fr/wp-content/uploads/2020/04/Logo-traqueur-small.jpg
Vêtement de chasse

 


Chasseur.com
Traqueur-chasse.fr
chasseur-et-compagnie.com