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La chasse à courre
 
 

Vendredi 13 décembre 2019

   Oise - 60

Un chasseur blessé par un opposant à la chasse à courre ?
Le collectif AVA dément

 
La Fédération des chasseurs de l'Oise dénonce l'agression d'un "opposant à la chasse à courre" en forêt de Chantilly. Les militants du collectif AVA réfutent.

Selon la Fédération des chasseurs de l’Oise ainsi que la Fédération nationale des chasseurs, mardi 10 décembre, aux alentours de 15 h 30, un « opposant à la chasse à courre » aurait agressé quatre chasseurs et leurs chevaux dans la forêt de Chantilly, dans le sud du département de l’Oise.
 - Ce dernier aurait frappé la croupe des montures avec un bâton, provoquant ainsi la chute du maître d’équipage. « Bilan : pied cassé, poignet fracturé et contusions au visage » écrit la Fédération.
 - L’homme, blessé gravement, a été hospitalisé, expliquent les chasseurs.

« Un climat délétère »
Selon la Fédération nationale des chasseurs, l’agression résulte d’un « climat délétère » :

   " Depuis deux ans, le collectif AVA (Abolissons la vénerie aujourd’hui, Ndlr) et les militants animalistes opposés à la vénerie et à la chasse, instaurent un climat de détestation et de violence à travers des opérations de sabotage incessantes et des campagnes délétères sur les réseaux sociaux."
 - Les chasseurs dénoncent « les accusations récentes et infondées sur la dangerosité des chiens courants, les faux témoignages de militants et les appels à la désobéissance civile pour entraver cette activité légale, [qui] ont conduit à un regain de tension devenu insupportable et dangereuse. »
 - Le collectif Abolissons la Vénerie Aujourd’hui (AVA) Chantilly s’est aussi fendu d’un communiqué de presse pour indiquer qu’aucune sortie AVA n’avait eu lieu ce jour-là, en forêt de Chantilly.
Les militants expliquent avoir été contactés par un habitant et racontent une toute autre version de l’histoire :
  •     "Cette personne, qui promenait son chien, ne se décrit pas comme un opposant à la vénerie, mais nous raconte avoir été agressée par des pratiquants de chasse à courre."

Pour le collectif, « la chasse à courre est une pratique accidentogène par essence, et cette tentative d’accuser les habitants qui la subissent n’est que la suite logique d’une méthode bien à eux ». Avant d’invoquer « les accusations mensongères de la Société de Vénerie » qui seraient « légion »

Publié par : actu.fr

Mardi 26 novembre 2019

   Côtes d’Armor - 22
 
Un militant anti chasse à courre
poursuivi par une élue pour diffamation


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Illustration d'un homme pratiquant à la chasse à courre, ici à Amboise. — A. Jocard / AFP
Source :
20minutes.fr

 
La vice-présidente du conseil départemental Véronique Méheust attaque un membre de l'association Forest Keepers

 - Le vif débat autour de la chasse à courre va se poursuivre sur le terrain judiciaire. Dimanche soir, l’association Forest Keepers Bretagne a fait savoir qu’un de ses membres était mis en examen dans une affaire de diffamation. La justice enquête sur des propos tenus par un de ses militants au sujet de la vice-présidente du conseil départemental des Côtes d’Armor Véronique Méheust. L’association avait notamment accusé l’élue de « confondre responsabilités politiques et intérêts personnels ». Cette dernière a porté plainte.
 - Le litige porte sur l’organisation d’une chasse à courre dans la forêt d’Avaugour Bois-Meur. Propriété du conseil départemental, l’espace accueille régulièrement le rallye d’Avaugour, une société locale de chasse. Depuis plusieurs mois, des membres de l’association Forest Keepers s’invitent dans la forêt pour perturber l’activité des chasseurs. Ce fut encore le cas samedi, sous l'œil des gendarmes. Les tensions ont été ravivées par la mort d'Elisa Pilarski dans l'Aisne, dévorée par des chiens. Son compagnon accuse la meute de chasse à courre de s’en être pris à sa compagne.

L’élue bretonne, adepte de la chasse à courre
 - La chasse à courre est de nouveau autorisée dans cette forêt depuis 2015, sous l’impulsion de Véronique Méheust, en sa qualité de vice-présidente du conseil départemental en charge de l’environnement.
 - Les opposants dénoncent « un conflit d’intérêts », en raison de la proximité de l’élue avec les sociétés organisatrices. Cette dernière est en effet une adepte de la chasse à courre qu’elle pratiquait au sein du rallye d’Armor, spécialisé dans la traque du cerf


C.A.
Publié par : 20minutes.fr

Mardi 26 Mars 2019
   Ille-et-Vilaine - Paimpont - 35  
Vénerie
Chasseurs et opposants manifesteront le même jour à Paimpont
 
https://www.letelegramme.fr/images/2019/03/23/la-saison-de-la-chasse-a-courre-se-terminera-samedi-jour_4480793_505x330p.jpg?v=1
La saison de la chasse à courre se terminera samedi, jour des deux manifestations organisées par les chasseurs
et les opposants. (Photo Ped Briggs/Pixabay)- Source :
letelegramme.fr

Samedi prochain, l’Association de défense de la ruralité et de ses traditions (ADRT), créée par des veneurs, organise à Paimpont (35) un rassemblement « festif et solidaire » destiné à défendre la chasse à courre. Le même jour, et au même endroit, les partisans de l’abolition de cette pratique appellent aussi à une manifestation.

La saison de la chasse à courre 2018-2019 restera longtemps gravée dans les esprits des veneurs comme la pire depuis des décennies. En effet, depuis quelques mois, l’Ava Bretagne (Abolissons la vénerie aujourd’hui) mène des actions, dans les grands massifs forestiers de Bretagne, en vue de filmer au plus près la traque au gros gibier et sa mise à mort. Actions qui ont donné lieu à des violences. Une soixantaine de plaintes pour menaces, coups et blessures ont d’ailleurs été déposées par des pro et des anti chasse à courre.
En parallèle à ces rencontres houleuses dans les sous-bois, les deux parties en présence ont entamé une guerre de communication sur les réseaux sociaux. Les chasseurs décrivant Ava comme une « construction de mensonge radical », une secte antispéciste animée par un gourou. Dans ses écrits, l’ADRT, assimile l’Ava à L214.

Défendre toutes les chasses et les pêches
L’ARDT veut que cette matinée du 30 mars, de 10 h à midi, esplanade de l’abbaye, à Paimpont, soit celle de la défense de toutes les chasses et pêches traditionnelles. « Ces attaques contre les chasseurs s’accompagnent d’un phénomène de contestation des propriétés privés avec une volonté d’appropriation de ces lieux par les collectifs concernés. Il s’agit la plupart du temps de « rurbains » ou de « néo-ruraux » méconnaissant la ruralité et donc les réalités de l’agriculture, la sylviculture, l’élevage et la vie sauvage. Les néo-ruraux présentent de plus la particularité, après s’être installés à la campagne, de ne pas en supporter la vie quotidienne : aboiements de chiens, chants des coqs, carillons des églises, circulation des tracteurs, épandage, chasse… À terme, l’équilibre global des secteurs agricoles et sylvicoles et de leurs débouchés seront fortement déstabilisés, leur pérennité menacée. Nos campagnes ne seront plus entretenues ».

« Bye bye la chasse à courre »
En face, l’Ava a décidé de mobiliser aussi ses militants et ses sympathisants. « Nous serons présents à Paimpont ce jour-là. Et nous donnerons de la voix », explique le collectif anti chasse à courre. « Pendant six longs mois, les cerfs, chevreuils, sangliers, renards ont été traqués sans relâche, deux fois par semaine, par des hordes de veneurs assoiffés de sang et de violence. Samedi, nous dirons bye bye la chasse à courre ».
En effet cette pratique sera, comme tous les ans, suspendue jusqu’au mois de septembre.
Ce face-à-face sera sans nul doute assez tendu. D’ailleurs la mairie de Paimpont étudie actuellement la possibilité de dissocier géographiquement les deux rassemblements.
En juillet 2018, l’Ava avait monté une action de ce type : ses militants s’étaient rendus à la fête de la chasse à Plémet (22) pour protester contre la chasse à courre qui, selon eux, « consiste à torturer des animaux uniquement pour se divertir ».

Didier Deniel
Publié par : letelegramme.fr

Vendredi 15 Mars 2019

   Ille-et-Vilaine - Paimpont - 35
Chasseurs et opposants face à face à Paimpont

L’équipage du Rallye Bretagne, en forêt de Paimpont, est spécialisé dans la chasse à courre au cerf.
 


 

L’équipage du Rallye Bretagne, en forêt de Paimpont, est spécialisé dans la chasse à courre au cerf. | Pascal Simon.
Illustration source :
ouest-france.fr
 


Le 30 mars, les défenseurs de la chasse à courre et de la ruralité et les opposants abolitionnistes appellent leurs sympathisants respectifs à se rassembler à l’abbaye de Paimpont.

Ce sera la fin de la saison de vénerie, la chasse à courre, à cor et à cri. Pas certain pour autant que les hautes futaies retrouvent leur sérénité à l’orée du printemps. Le samedi 30 mars, à partir de 10 h, un double rassemblement est annoncé sur l’esplanade de l’abbaye Notre-Dame de Paimpont.
D’un côté, l’association Abolissons la vénerie aujourd’hui (AVA Bretagne) qui appelle ses militants à venir dire « bye bye à la chasse à courre ».

« Sauver la ruralité »
?De l’autre, les amateurs de chasse à courre et leurs sympathisants se retrouveront au même endroit à l’appel de l’association pour la défense de la ruralité et de ses traditions (ADRT), récemment créée par des membres du Rallye Bretagne, l’un des équipages de chasse à courre d’Ille-et-Vilaine. « Sauvons notre ruralité menacée, ses traditions, sa beauté, son bon sens, ses exigences » : c’est le mot d’ordre du rassemblement qui se veut « festif et solidaire » et plus largement ouvert qu’aux seuls veneurs ou même chasseurs : les pêcheurs, forestiers et même des acteurs de la filière agroalimentaire de la viande sont invités.
?De son côté Ava milite purement et simplement pour l’interdiction et l’abolition de la chasse à courre en France. Un mode de chasse qu’ils décrivent comme une « pratique barbare d’élitistes » . Un mode de chasse pourtant tout à fait légal. Un fait balayé par l’association abolitionniste : « ce n’est pas parce qu’une pratique est légale qu’elle est juste : le monde est sans cesse en évolution, les consciences évoluent vers plus de respect pour les animaux, la nature, et les humains ».

Tout un symbole
?Faut-il craindre des tensions aux abords de l’abbaye de Paimpont, le 30 mars ? Du côté des chasseurs, ce sera la conclusion d’une saison de chasse qui fut parmi les pires qu’ils aient connus. Notamment l’équipage de chasse à courre basé dans la forêt de Paimpont, le Rallye Bretagne, spécialisé dans le cerf, ciblé quasiment chaque semaine par les militants anti-chasse aussi pour tout ce qu’il incarne. Car le sanglier, le chevreuil, le renard mais aussi le lapin et le lièvre peuvent être chassés à courre. Mais le cerf, c’est le roi de la forêt, et la vénerie à cheval, la chasse autrefois pratiquée par les rois. Tout un symbole…
?La tension sur le terrain entre militants anti-chasse et les veneurs a culminé le 2 février : cinq chasseurs comparaîtront devant la justice le 16 juillet pour « violences aggravées en réunion » . Un procès qui est déjà un trophée de chasse pour les militants d’Ava qui espèrent bien sonner l’hallali de la vénerie.

Pascal SIMON
Publié par : ouest-france.fr

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