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ALERTE PESTE PORCINE

Vendredi 4 Janvier 2019
 
Peste porcine africaine :
15 km de clôtures supplémentaires pour protéger la France



Image copiée sur la vidéo source : rtbf.be
 
"Le virus de la peste porcine africaine avance de deux kilomètres par mois", explique René Collin, le ministre wallon de l’agriculture. Une progression vers l'ouest de la zone délimitée et donc aussi vers la frontière française. Si le timing est respecté, de nouvelles clôtures devraient être posées la semaine prochaine en province de Luxembourg. Elles permettront de renforcer le confinement des sangliers contaminés.
 
Eviter la propagation à la France
 
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Les clôtures supplémentaires sont tracées en jaune - © Source: SPW /rtbf.be

Trente kilomètres de clôtures ont déjà été installées autour de la zone tampon. Quinze kilomètres supplémentaires seront donc ajoutés mais dans un autre périmètre entre Florenville et Virton, à la frontière franco-belge, dans la partie la plus éloignée du noyau. La carte définitive doit encore être validée par le ministre.
Dans cette région, certains cadavres de sangliers contaminés auraient été retrouvés à quelques centaines de mètres à peine des limites de la zone tampon. La décision d'ajouter une protection a été prise suite à différentes réunions techniques. L’objectif est donc de prévenir la propagation de la maladie au pays voisin, "en créant un vide sanitaire où les destructions vont se poursuivre" explique René Collin.
Actuellement, le périmètre situé essentiellement en Gaume est délimité en trois zones : le noyau, soit le cœur de l’infection autour d’Etalle sur quinze mille hectares, la zone tampon sur 27 milles hectares et enfin la zone d’observation renforcée où seront donc plantés ces quinze kilomètres supplémentaires de rempart.

Le pic n'est toujours pas atteint
La peste porcine africaine n'a pas dit son dernier mot. "Actuellement 879 sangliers ont été prélevés sur l'ensemble du massif forestier, parmi ceux-ci 281 animaux, tous découverts dans le noyau, ont été contrôlés positifs", continue le ministre en charge des forêts. Pas de timing, ni de prévision pour une éventuelle réouverture de la foret confinée. Mais René Collin croise les doigts : "on commence à entrevoir le bout du tunnel..." conclut-il.

Publié par : rtbf.be

Dimanche 23 Décembre 2018

Peste porcine : un sanglier contaminé en Belgique à la frontière de la Meuse et 10 autres à l’analyse
 


Illustration source : estrepublicain.fr

A Meix-devant-Virton, commune frontalière belge, non loin de Thonne-La -Long, 10 carcasses de sangliers ont été retrouvées jeudi, côté belge, derrière les clôtures installées, dans la zone dite tampon à l’endroit précis appelé « Perrière », en face du parc à containers.

Lundi, non loin de Gérouville, c’est une autre carcasse qui a été retrouvée contre les fils de clôture de cette zone tampon, cette carcasse était infectée par le virus de la peste porcine africaine. Sur place, on se rend bien compte que ce n’est pas cette clôture qui va arrêter le fléau d’autant plus qu’elle est entrecoupée de routes du réseau automobile wallon et chemins forestiers en macadam.

« Là, le fléau est bien arrivé chez nous »
Rencontré ce vendredi, le bourgmestre de Meix-Devant-Virton, Pascal François, revient d’une réunion matinale avec les instances de la Région Wallonne, de la DNF (Département de la Nature et des Forêts) et d’autres bourgmestres impactés directement par cette peste porcine. « Là, le fléau est bien arrivé chez nous, on attend encore les analyses des carcasses des 10 sangliers retrouvés hier mais cela fait peu de doute concernant le résultat….Les autorités Wallonnes ont décidé de clôturer, en janvier, tout le long de la zone frontière, c’est à dire jusqu’à Thonne La- Long en ce qui concerne le département de la Meuse, c’est à dire à 5,5 km d’ici à vol d’oiseau. Quand les experts estiment que l’avancée de la maladie est de plus ou moins 2 km par mois, il ne faut pas être un ingénieur pour entrevoir tôt ou tard le passage des sangliers en France ».

Des activités en forêt à l’arrêt
Beaucoup d’autres problèmes inhérents apparaissent comme le travail de bûcheronnage ou le débardage des bois qui est maintenant interdit en forêt avec comme conséquence un manque à gagner de 400.000€ rien que pour la commune de Meix-Devant-Virton.


==> Peste porcine : le rappel des règles dans le Nord Meusien

Publié par :
estrepublicain.fr

Lundi 12 novembre 2018
 
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COMMUNIQUE du 8 novembre 2018

 
 
 Peste Porcine Africaine en Belgique :
les chasseurs ont un rôle-clé à jouer !
 

Illustration source : chasseurdefrance.com

Début septembre, des sangliers infectés de Peste Porcine Africaine (PPA) en Belgique, ont été découverts dans une zone frontalière avec la France (départements des Ardennes, de la Meuse et de la Meurthe-et-Moselle). Suite à cela une réaction très rapide des chasseurs sur le terrain, des fédérations de chasseurs, de l’Etat français et de l’ONCFS, a permis de mettre en place différentes mesures de surveillance. Ces mesures ont abouti à considérer que la France est bien toujours indemne de PPA et à être en capacité de détecter le plus rapidement possible une éventuelle arrivée du virus sur le territoire.
Des messages ont aussi été diffusés à tous les chasseurs de France pour leur fournir plusieurs informations :
–       Les règles d’hygiène à respecter lors de la chasse
–       La nécessité de signaler à sa fédération toute mortalité anormale de sanglier, qui sera prise en charge et analysée par le réseau Sagir
–       L’importance de réduire les populations de sangliers.
Ces informations sont regroupées dans les documents ci-dessous à télécharger :
–    1/   Un poster rappelant règles de surveillance et de biosécurité pour les cabanes de chasse
–   2/    Une plaquette rappelant règles de surveillance et de biosécurité pour tous les chasseurs de France
–   3/    Une plaquette de sensibilisation des chasseurs de la zone d’observation (au nord des Ardennes, de la Meuse et de le Meurthe-et-Moselle)
–   4/    Une plaquette de formation des chasseurs de la zone d’observation renforcée (le long de la frontière belge dans les Ardennes, la Meuse et la Meurthe-et-Moselle)

Publié par : chasseurdefrance.com

Dimanche 14 Octobre 2018
Peste porcine en Belgique :
des chasseurs français montent des clôtures
 
 
Après la restriction des transports dans certaines zones forestières, les chasseurs vont installer des clôtures entre la Meurthe-et-Moselle et la Belgique.
Après la restriction des transports dans certaines zones forestières, les chasseurs vont installer des clôtures entre la Meurthe-et-Moselle et la Belgique. | AFP- Illustration source : ouest-france.fr


Il veulent éviter que des sangliers contaminés par la peste porcine africaine ne passent de Belgique en France. Les chasseurs de Meurthe-et-Moselle ont commencé à installer des clôtures en forêt.

« On ne prétend pas que la clôture et les répulsifs seront une barrière infranchissable, puisque la peste porcine africaine (NDLR : sans danger pour l'homme) peut se diffuser de plusieurs manières, mais il fallait tenter quelque chose », explique le président de la Fédération de chasse, Patrick Massenet. « On ne peut plus rester les bras ballants en faisant des réunions à parler de la peste porcine », ajoute-t-il. En lien avec la préfecture de Meurthe-et-Moselle, la Fédération de chasse du département et les agriculteurs vont installer, ce week-end, clôtures et répulsifs à sangliers sur une trentaine de kilomètres le long de la frontière belge.
La pose de clôtures pour limiter les mouvements des sangliers est prévue dans l'un des deux arrêtés ministériels relatifs aux mesures de protection et de surveillance pris cette semaine pour prévenir la propagation du virus dans les Ardennes, la Meuse et la Meurthe-et-Moselle.

Les passages stratégiques connus
Les clôtures électriques seront installées à des endroits stratégiques. « Avec mes chasseurs, on a une grande connaissance des passages des sangliers entre la France et la Belgique », précise Patrick Massenet. La présence de la peste porcine africaine a été détectée en Belgique le 13 septembre et depuis « 79 cadavres de sangliers ont été retrouvés porteurs du virus », selon le ministère wallon de l'Agriculture.
Les préfectures des Ardennes, de la Meuse et de la Meurthe-et-Moselle ont interdit les loisirs (promenade, cueillette des champignons, sports...), la chasse et les activités professionnelles en forêt dans une zone d'observation renforcée (Zor) délimitée le long de la frontière belge, portant sur 41 communes en Meuse et 50 en Meurthe-et-Moselle.
Dans les Ardennes, cette zone a toutefois été réduite à l'ouest, passant de 43 à 22 communes, une reprise de la chasse étant désormais autorisée dans les 21 communes sorties du périmètre, a indiqué samedi la préfecture de ce département.
Les cas découverts depuis le début de la crise en Belgique « étant tous circonscrits autour du foyer d'origine », l'Agence nationale française de sécurité sanitaire (Anses) a préconisé de « réduire la ZOR dans sa partie la plus occidentale », a indiqué la préfecture des Ardennes.

L'angoisse d'une extension à la France
Aucun porc malade n'a encore été recensé dans une exploitation située dans le secteur concerné, une zone forestière du sud de la Belgique. Mais par mesure de précaution, quelque 4 000 porcs ont été abattus dans ce périmètre jugé à risque.
La France est épargnée par cette épizootie, qui touche les animaux de la famille du porc et se transmet par contact entre animaux. « Mais elle peut également se disséminer par des mouvements de véhicules, de personnes en provenance des zones infectées ou par l'intermédiaire de denrées alimentaires contaminées », a souligné la préfecture de la Meuse.

« Si la peste porcine est propagée par une activité humaine, on ne pourra plus rien faire », soupire le président des chasseurs de Meurthe-et-Moselle. Selon lui, la maladie « avance de 500 mètres à deux kilomètres par mois, mais en Belgique, elle a progressé de quatre à cinq km depuis un mois. Et là, elle est à 5 km de la frontière ».

Les éleveurs redoublent de précaution
La perspective d'une contamination inquiète la filière porcine, déjà fragile. « Les éleveurs sont forcément angoissés avec le spectre de la peste porcine qui pourrait leur tomber dessus », explique le président de la FDSEA (branche locale de la FNSEA) de Meurthe-et-Moselle, Luc Barbier.
La maladie est très difficile à maîtriser car il n'existe ni vaccin ni soin possibles. Elle est mortelle à 100 % pour les animaux touchés.
Les élevages lorrains et ardennais sont soumis à une surveillance renforcée depuis un mois.Les mesures à destination des professionnels, des particuliers et des chasseurs sont applicables jusqu'au 20 octobre, mais pourraient être reconduites selon l'évolution de la situation sanitaire.
Dans l'ouest, et particulièrement en Bretagne, premier bassin de production français, les éleveurs redoublent de précaution pour protéger leurs élevages. Si un cas venait à être découvert sur un porc français, certains pays importateurs, comme la Chine, pourraient décider instantanément un embargo à l'encontre de tout le porc français. C'est déjà le cas pour le porc belge.

Chasser ou pas ?
A première vue, il paraîtrait logique de vouloir réduire fortement la population de sangliers tant du côté belge que français. C'est une demande de certains agriculteurs français, qui entretiennent par ailleurs un certain antagonisme avec les chasseurs, depuis plusieurs années, sur la prolifération des sangliers. Ceci non pas à cause de la PPA, mais des dégâts causés par ces gros animaux sauvages dans les cultures.
En matière de réduction des risques de propagation de la PPA, pourtant, il ne s'agit pas d'organiser des battues à grande échelle.
« Si on chasse avec les chiens, on est sûrs d'envoyer nos sangliers en Belgique et ils vont revenir avec la peste. Mais il faut rouvrir la chasse à l'affût », précise le patron des chasseurs.

Publié par : ouest-france.fr

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