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LES ACTUALITES DU JOUR



 

Chasse traditionnelle de l’alouette : vers une nouvelle expérimentation ?

 

Dans le Sud-Ouest la chasse traditionnelle de l'alouette va-t-elle reprendre ? Rien de moins sûr .... les chasseurs sont furieux

 - Les chasseurs attendaient une réponse claire de la ministre sur le retour de la chasse traditionnelle de l’alouette. La réponse est tombée, et autant dire qu’elle n’a pas été à la hauteur de leur attente.

Chasses traditionnelle de l’alouette et les autres  : un enterrement en première classe

 - Les chasseurs de Gironde et du Lot et Garonne sont vent debout après la réponse de la ministre.
 - Le ministère de l’Environnement propose une solution pour les chasses traditionnelles : l’enterrement en première classe. Alors que nous demandons un arrêté autorisant la chasse des Alouettes, c’est un programme expérimental ubuesque de quantification des prises accidentelles, ressorti de son placard, qui nous est à nouveau proposé. Pourquoi faire ?
 - Ces chasses sont surveillées de très près pour répondre aux exigences de la législation européenne. Les gardes de l'OFB n'ont constaté aucune prise accidentelle en 35 ans. Cependant le juge administratif, comme les opposants, n’ont que faire d’une nouvelle "expérimentation" sur quelques installations. Ils l’ont déjà dit l’an dernier. En Fait ils ne veulent pas des chiffres. Ils veulent la fin de ces chasses, rien d’autre.
 - La solution douce du Ministère consiste à faire traîner l’enterrement sur de longs mois, avant que ce soit le tour des autres chasses traditionnelles. Sauf que nous n’accepterons pas de faire deuil de la première d’entre-elles, celle de l’alouette.
 - Les propositions que vos fédérations ont formulées auprès de madame la Ministre le 8 octobre s’inscrivent parfaitement dans le cadre dérogatoire que les textes européens instaurent pour sauvegarder ces chasses régionales à haute valeur patrimoniale et culturelle.

"Nous ne cèderons pas"

 - Les panneaux fleurissent au bord des routes. Une colère de fond qui monte dans nos campagnes, meurtries jusque dans leur culture. Ces français exemplaires, qui se sont toujours levés pour s’engager pour leur pays et qui ne demandent rien d’autre que vivre en paix n’en peuvent plus d’être méprisés.
 - Nous ne les abandonnerons pas. Nous ne sommes pas de ces dirigeants qui expliquent l’inexplicable, qui acceptent l’inacceptable, qui accompagne la mort des leurs.




SIA : encore beaucoup trop de chasseurs ne sont pas inscrits

 
 

A quelques semaines de la date fatidique d’inscription au SIA le 31 décembre force est de constater qu’il y a beaucoup de retardataires chez les chasseurs.

- Plusieurs départements tirent la sonnette d’alarme : trop de chasseurs n’ont pas encore ouvert leur compte SIA. Attention ils seront en infraction au 1er janvier 2025.
 - Il faut néanmoins bien se rappeler que tous les chasseurs ne sont pas obligés d’ouvrir ce compte. En effet les détenteurs d’une arme à canon lisse à un coup, acquises avant le 1er décembre 2011, ne sont pas soumis à cette obligation.

Dans certains départements plus de 40% des chasseurs n’ont pas ouvert leur compte SIA

 - Les appels incitants les chasseurs à se mettre en conformité se succèdent.
 - Dans le Loiret seul 50% des 20 000 chasseurs ont ouvert leur compte, 40% dans la Creuse, un peu plus de 30% dans la Somme.
 - Ce ne sont là que quelques exemples. Les Fédérations de Chasse, les préfectures, tous rappellent l’urgence pour faire cette démarche.
 - Beaucoup arguent de la difficulté de faire les démarches par méconnaissance de l’informatique.
 - Pour d’autre c’est à cause des zones non couvertes par internet. Pour certains c’est l’âge avancé de certains chasseurs. On entend aussi parler d’illectronisme ou d’inhabileté numérique.
 - Attention aux chiffres néanmoins. Il est difficile de savoir quand on parle de «  X chasseurs » sur un département si il s’agit de chasseurs titulaires du permis, ou de chasseur ayant validé leur permis. Il y a 5 millions de personnes titulaires du permis de chasse, et 1 million qui le valide chaque année.
 - Même s’ils ne sont pas nombreux, il y aussi les possesseurs d’une arme à canon lisse à un coup. Les chasseurs à l’arc, et ceux au vol. Les traqueurs qui n’ont pas tous une arme à feu, par choix.

Que risquent les chasseurs qui ne seront pas en règle ?

 - Déjà de ne plus pouvoir à partir du 1er janvier 2025 d’acheter ou de vendre une arme. Mais ils ne pourront pas non plus aller chez leur armurier pour la faire réparer. Et en cas de contrôle sur le terrain, les armes pourront être saisies.
 - Certains préfets seront néanmoins conciliants.
 - Ainsi dans le Loiret,  Franck Boulanjon, directeur de cabinet de la préfète du Loiret explique à France Bleu :
" L'idée, ce n'est pas de faire des opérations massives de saisies d'armes au 1er janvier 2025. Il y aura une forme de tolérance au début, de la pédagogie."




   Morbihan - 56

 

Morbihan :

Un chasseur sérieusement blessé après une chute de 7 mètres au cours d’une battue

   

Une battue près du bourg de Guillac, au cœur du Morbihan

Les faits se sont déroulés le dimanche 20 octobre, sur le territoire de la commune de Guillac, à une cinquantaine de kilomètres dans les terres au nord de Vannes, dans le Morbihan.

- En début de matinée, vers 9h30, alors qu’une battue au grand gibier se déroulait non loin du bourg, entre la salle des fêtes et la route départementale D122, l’un des chasseurs a fait une chute au fond d’un puits dont l’entrée se trouvait au niveau du sol et était dissimulée par des fougères.

Blessé après une chute de 7 mètres au fond d’un puits
- La chute a été terrible pour le malheureux qui s’est retrouvé au fond, à 7 mètres de profondeur, en un instant. 
- L’impact au sol a été violent et l’homme a eu la cheville fracturée.
- Par chance, les camarades de chasse du malheureux se sont assez rapidement aperçus de l’accident et ont prévenu les secours. Les sapeurs-pompiers ont pu intervenir et dégager le blessé du puits.
 - Il a été conduit au centre hospitalier de Ploërmel où il a été pris en charge.  Bien que sa blessure soit sérieuse, son pronostic vital n’a pas été engagé.

Le lieu de l’accident sécurisé
 -
Dès le lendemain, les services municipaux ont sécurisé les lieux de l’accident en obturant l’entrée du puits avec une plaque en béton.
 - Pour l’heure, on ignore le profil exact de cet infortuné chasseur ainsi que son poste au sein de la battue. 
 - L’homme traquait-il avec la meute ou était-il un tireur allant rejoindre son poste ?
 - Quoi qu’il en soit, toute la rédaction de Chassons.com souhaite un bon rétablissement à ce chasseur et espère qu’il puisse rapidement reprendre ses activités cynégétiques.

Par Frédéric Buszkowski
Pour
chassons.com



Sanglier de 180 kg prélevé en Ille-et-Vilaine :
Les détails de l’histoire obtenus auprès des chasseurs

 

Source : chassons.com

Une ACCA de 134 chasseurs

Nous vous avions relaté la semaine dernière le prélèvement record d’un sanglier de plus de 180 kg (180,9 pour être précis) réalisé au cours d’une battue sur le territoire de la commune de Combourg, à 35 kilomètres au Nord de Rennes, en Ille-et-Vilaine. Nous avons pu entrer en contact avec les chasseurs de l’ACCA (association communale de Chasse agréée) de Combourg, qui organisait cette battue. Son président, Monsieur Patrice Riaux, à la tête des 134 chasseurs de la commune et ayant repris récemment les rennes de l’ACCA après le décès de son regretté président Monsieur Gicquel, a bien voulu nous relater les circonstances de cet exploit exceptionnel et nous a permis d’interroger l’heureux tireur de ce gibier hors normes, Monsieur Robert T. Et voici l’histoire telle qu’ils nous l’ont racontée :

Une battue pour protéger les maïs
 -
Par un temps humide et maussade, au matin du samedi 12 octobre, Patrice Riaux, directeur de battue, avait donné rendez-vous à ses chasseurs (environ 40 nemrods avaient répondu présents, ce qui est la moyenne pour une battue à Combourg), pour aller chasser à proximité d’une vaste parcelle de maïs d’une exploitation de la commune où des dégâts avait été signalés et où un sanglier de fort gabarit aurait été repéré.
 - Trois meutes d’une dizaine de chiens chacune allaient traquer les suidés ce jour-là : les fauves de Bretagne de Patrice Riaux, les anglos de son ami Thierry Angers et les petits beagles de leur camarade Sylvain Legout
 - Tous les postés étaient équipés de fusils, l’usage de carabine n’étant pas admise par l’ACCA pour des raisons de distances de tirs réduites et afin d’assurer une sécurité optimale, ce qui semble être une des préoccupations majeures de monsieur Riaux et de ses adhérents.

Un très gros sanglier lancé
 -
Une fois la présence d’un ou plusieurs suidés ayant été décelée par les chiens de pied dans un roncier jouxtant le maïs, le directeur de battue a réuni ses hommes pour le rond.
 - Une fois les consignes de sécurité rappelées et les particularités du jour énoncées, le dispositif était mis en place avec quatre lignes, d’une dizaine de tireurs chacune encadrant, la parcelle chassée.
 - Une fois la moitié des chiens mis au roncier, un sanglier était lancé et s’extrayait des ronces à grande allure en direction des maïs.
 - Au passage, l’un des chasseurs a pu l’apercevoir et sonna la vue en annonçant à la radio " Attention, très gros sanglier " .
 - Une fois dans le maïs, l’animal balada les chiens pour tenter de ressortir de la parcelle. Mais, tombant nez à nez avec un posté, il fît demi-tour pour retourner dans les cultures avec les chiens à sa suite.

Tir fichant à 15 mètres, Brenneke calibre 12 au défaut de l’épaule
 -
Après de longues minutes de menée, le suidé a fini par ressortir du maïs pour foncer droit vers un étang sur la digue duquel, Robert T., un chasseur de 73 ans, premier permis à 16 ans, était posté.
- L’homme avait été prévenu par ses collègues à la radio que le gibier se dirigeait vers lui mais quand il l’a vu arriver il a été un peu surpris comme il nous l’a confié: « C’est impressionnant, un bestiau comme ça qui vous arrive dessus. Mais, bon je n’ai pas eu peur ».
 - En effet, Robert a attendu que le sanglier gigantesque dégage son angle de 30 degrés, placé sur la digue et surplombant donc le suidé en contrebas, il n’a eu qu’à lui lâcher une bonne vieille balle Brenneke en calibre 12 avec son superposé Fabarm à une quinzaine de mètres pour que la bête s’écroule, frappée au défaut de l’épaule.
 - « Elle n’a même pas culbuté, elle s’est effondrée sur place »  nous a expliqué Robert.  La balle sera retrouvée au dépeçage, écrasée contre un os.
 - Cet expérimenté chasseur a été assez fier de son prélèvement lorsque celui-ci s’est retrouvé suspendu au peson de l’ACCA : 180,9 kilogrammes !
 - Le chasseur est conscient de la rareté d’une telle prise et a déclaré : « Je ne sais si j’en reverrai un autre comme ça » !
 - Toute la rédaction de Chassons.com félicite Robert et ses camarades de l’ACCA de Combourg pour ce prélèvement qui restera dans les annales.

Par Frédéric Buszkowski
Pour
chassons.com


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