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ACTUALITÉS  DU MERCREDI
 
 
 
Mercredi 27 septembre 2023
 

Fontainebleau :
4 membres du Parti Animaliste tractent contre la chasse la veille de l’ouverture…

 
 
Source : chassons.com

Nous nous étions fait l’écho (pour nous amuser un peu!) d’un « rassemblement » des antispécistes du parti animaliste qui avait réuni trois personnes le jour de l’ouverture générale de la chasse à Brest. Nous venons d’apprendre que des manifestations similaires avaient en fait eu lieu dans plusieurs villes de France afin de sensibiliser le public contre les méfaits supposés de notre passion.

 - C’est ainsi qu’à Fontainebleau, en Seine-et-Marne, le même jour, ils n’étaient pas deux, ni même trois, mais bien quatre (!) à s’être rassemblés, à l’appel du Parti animaliste et le la PACCT 77 (Pour l’Abolition de la Chasse à courre et des Chasses Traditionnelles), sur la place du marché de la commune en plein centre-ville.
 - Le mot d’ordre? « Plus on connait la chasse, mois on l’aime  » ! L’objectif ? « Sensibiliser les gens sur la chasse, ses abus, ses excès et sa cruauté « . Diantre ! Nous n’avons qu’à bien nous tenir ! Évidemment, l’impact sur le public dans ces terres de chasse à courre et de fortes pratiques cynégétiques en général a été plus que limité, mais nos « amis » se sont fait plaisir en s’offrant le grand frisson d’avoir l’impression d’être des rebelles et des lanceurs d’alerte !
 - Plus sérieusement, comment ne pas sourire devant les moulinets militants de ces illuminés dont la sensiblerie et le sentimentalisme tiennent lieu de corpus idéologique ? Agitez-vous, messieurs-dames, dans 100 ans, nous, chasseurs, seront encore là car la transmission de nos valeurs nous incombe comme un devoir et la nature a besoin de nous !

Par Frédéric Buszkowski
Pour chassons.com


 

Dix blessés en Bretagne dans une collision routière avec un sanglier

 
 

Source :
chassons.com

Samedi dernier, vers 22h30, une voiture et un minibus sont entrés en collision avec un sanglier qui traversait la route départementale 137, une route à 2×2 voies reliant Rennes à Saint-Malo, en Ille-et-Vilaine, à la hauteur de la commune de Tinténiac. Le choc a été particulièrement violent et les occupants des deux véhicules impliqués ont été blessés.

 - En effet, plus de 25 sapeurs-pompiers ont dû intervenir pour leur porter secours. Les victimes, au nombre de dix, ont été évacuées dans plusieurs hôpitaux du secteur, Rennes, Saint-Grégoire, Cesson-Sévigné et Saint-Malo. Il semblerait que, par chance, aucun des blessés ne soit trop gravement atteint mais ils étaient tous en état de choc.
 - A l’autre bout de la France, hier, vers 10h30, c’est un motard de 74 ans qui n’a pas pu éviter un suidé qui, avec deux de ses congénères, traversait la RN 88 à Cussac-sur-Loire, en Haute-Loire. Le conducteur du deux-roues a percuté le sanglier, une bête d’environ 80 kg, et a lourdement chuté au sol. Blessé, le septuagénaire a été évacué aux urgences du Puy-en-Velay.
 - Ces désolants faits divers doivent permettre de nous rappeler qu’environ 50 personnes trouvent la mort chaque année lors de collisions avec du gibier, plus de 120 sont hospitalisées pour des blessures graves et pas moins de 40 000 accidents routiers ont pour cause la faune sauvage. Nous ne pouvons imaginer l’aggravation de ce terrible constat si d’aventure, sous les coups de boutoirs médiatiques et politiques de nos détracteurs, la chasse se voyait être interdite ou fortement restreinte…

Par Frédéric Buszkowski
Pour chassons.com


Yannick Jadot s’attaque à nouveaux au « lobby de la chasse » sur France 2

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Interrogé ce matin par Thomas Sotto dans l’émission matinale « Télématin », Yannick Jadot devenu Sénateur de Paris, a eu l’occasion de donner son point de vue sur différents sujets. La majorité des thèmes abordés tournaient autour de l’écologie et ce fut encore une fois pour lui l’occasion de citer « le lobby de la chasse ».

Yannick Jadot, le candidat malheureux des élections présidentielles devenu Sénateur.

 - On s’en souvient très bien, lors des dernières élections présidentielles, Yannick Jadot avait été désigné comme candidat des verts, à la grande déception de Sandrine Rousseau qui convoitait elle aussi la place de leader du parti EELV. Après une campagne chaotique, Yannick Jadot n’aura pas du tout convaincu les Français et terminera les élections sur une note catastrophique avec un résultat de seulement 4.63% des voix, ce qui va l’éliminer dès le premier tour.
 - Les verts s’imaginaient pourtant tout en haut de l’affiche, convaincus que 2022 allait voir naître le premier président écologiste en France. Mais le rêve a rapidement tourné au cauchemar pour eux. Un cauchemar qui aura coûté cher au parti puisque ce faible résultat n’aura pas permis d’atteindre les 5% nécessaires au remboursement substantiel des frais de campagne engagés.
 - Très embarrassés par la situation, EELV avait même lancé une cagnotte en ligne visant à récolter des fonds pour limiter la casse.
 - Yannick Jadot avait alors plus ou moins disparu des débats concernant l’écologie en France, même si ce silence soudain était plutôt du fait de l’arrivée en force de Sandrine Rousseau dans les élites du parti.

Il avait ensuite repris sa carrière à travers son poste de député Européen mais l’ancien militant de chez Greenpeace a décidé de mettre fin à ce mandat par anticipation. Peut-être que l’homme était lassé de la fonction mais surtout, le règlement intérieur des écologistes empêche un élu d’effectuer plus de 3 mandats dans une même fonction politique.
 - Veillant à préparer la suite de sa carrière, Yannick Jadot s’est donc présenté aux élections Sénatoriales et a été élu Sénateur ce dimanche 24 septembre.

De retour sur un plateau de télévision, Yannick Jadot s’attaque directement au « lobby des chasseurs ».

 - Changer de fonction ne veut pas dire changer de litanie pour Yannick Jadot qui reprend sans relâche les vieilles phrases qu’il ressasse sans cesse.
 - Après une première question sur le football Français, Thomas Sotto remarque que Yannick Jadot semble prêt à tout plaquer au niveau Européen pour trouver sa place au Sénat. Ce dernier affirme alors que le changement de voie n’est pas de son fait mais que l’Europe est désormais en avance sur la France et que les choses doivent bouger au niveau de l’écologie au sein même du pays :
« A l’échelle Européenne, quand on regarde la France, c’est la France qui n’applique même pas l’agenda Européen, condamnée sur la pollution de l’air, condamnée pour satisfaire les lobbys de la chasse sur la protection des espèces protégées, condamnée sur l’inaction climatique […] »
 -
Une phrase qui mixe un peu toutes les thématiques propres au discours des verts mais qui ne veut pas dire grand chose en ce qui concerne la chasse. Si une espèce est protégée en France, elle est protégée un point c’est tout.
 - Les chasseurs Français sont bien placés pour savoir que la réalité du terrain est généralement bien différente de ce qui est exprimé dans les discours européens et que certaines réglementations doivent se faire au niveau local. Interdire la chasse d’une espèce est d’ailleurs souvent un bon moyen de la condamner totalement puisque les chasseurs sont les premiers (voir les seuls) à se mobiliser lorsqu’un gibier est en déclin.
 - A la vue du durcissement de la règlementation autour de la chasse et de la disparition des chasses traditionnelles, c’est même plutôt l’invers
e, la France ne fait pas vraiment de cadeaux à ses chasseurs…


Pour chassepassion.net
 



Deux-Sèvres : « 40 à 50% des perdrix grises sont mangées dans les 15 premiers jours »

 
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C’est en partenariat avec le CNRS que les chasseurs du GIC Courance et Mignon dans les Deux-Sèvres suivent avec une grand précision l’évolution de la perdrix grise sur leur territoire. Pour cela, ils ont équipé quelques individus d’une balise GPS qui leur permet de suivre les oiseaux à la trace.
 

Une opération de suivi de grande envergure.

 - Le GIC de Courance et Mignon rassemble les 5 ACCA de la Rochénard, de Vallans, de Val-du-Mignon, d’Epannes et de La Foye-Monjault. Ce rassemblement a permis la mise en place d’un programme de suivi de la perdrix grise sur tous les territoires et d’harmoniser les actions d’aménagement du territoire comme du repeuplement.
 - Sur près de 6500 hectares, ce sont 2600 perdrix grises qui ont pu être baguées. Ce suivi a permis la création d’une banque de données qui représente une base solide pour une étude de cette envergure. Menée en partenariat avec le CNRS, la Fédération des chasseurs des Deux-Sèvres espère obtenir des résultats concrets de cette opération qui devrait permettre d’en apprendre plus sur les différents paramètres à prendre en compte pour un repeuplement efficace de la perdrix grise sur leurs territoires.
 - Les chasseurs ne sont pas les seuls à être mis à contribution dans ce projet. Les propriétaires terriens, les agriculteurs et bien d’autres acteurs ont été contactés pour établir des conventions sur 10 ans afin d’offrir un environnement des plus favorables à l’établissement des perdrix grises sur les parcelles du GIC.
 - Une convention a même été signée avec RTE (responsable du Réseau de Transport d’Électricité) pour que des plantations appréciées des perdrix grises soient semées sous les pylônes de lignes à haute tension présentes sur le territoire.
 - Les chasseurs ont également mis à disposition 300 agrainoirs et autant de points d’eau sur leur territoire pour faciliter le développement de la perdrix grise. Des équipements qui profitent donc à l’oiseau étudié mais aussi au reste du petit gibier comme à toute la petite faune.

Des perdrix ont été équipées de balises GPS.

 - Pour assurer un suivi plus précis des perdrix grises, la Fédération des chasseurs a créé un poste sous le régime du service civique qui travaille en relation étroite avec le CNRS de Chizé pour remonter les informations récoltées auprès du GIC et conseiller au mieux les chasseurs dans leurs actions.
 - Le CNRS a quant à lui équipé une vingtaine de perdrix grises de balises GPS pour observer leurs déplacements et comprendre le cycle de vie de l’oiseau. Ces balises, d’une valeur de 1000 euros chacune, sont fixées sur le dos des perdrix et renvoient les données récoltées une fois toutes les 24h.
 - En cas d’inactivité prolongée, cela signifie souvent que l’oiseau est mort. Les balises sont alors récupérées pour être affectées à d’autres perdrix.
 - Les agents missionnés par la Fédération et interrogés par les journalistes de Ouest-France sont unanimes :« On se rend compte que lorsqu’on lâche, 40 à 50 % des perdrix sont mangées dans les 15 premiers jours ».

Les prédateurs les plus en vue lorsqu’une perdrix est prédatée sont souvent les chats, les rapaces et les renards.

 - Cette étude qui dure depuis plusieurs mois va encore délivrer un grand nombre d’informations qui devraient permettre de mieux identifier les besoins et les points bloquants à prendre en compte lors d’une telle opération qui vise à recréer une population sauvage de perdrix grise sur un territoire.
 - Il y a donc encore beaucoup de travail mais les premières couvées sauvages aperçues sur le terrain démontrent que les choses avancent dans la bonne direction.

Par chassepassion.net


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