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ACTUALITÉS  DU MERCREDI
 

 
Mercredi 24 juillet 2024
 

Qu’est-ce qu’une balle d’apophyse ?

Imaginez-vous en pleine partie de chasse, réalisant le tir parfait, mais constatant quelques instants après que l'animal se redresse et s'enfuit. Tout chasseur, qu’il soit débutant ou expérimenté, peut être confronté à cette situation surprenante.
Mais quel est donc ce phénomène ?

  - Il s'agit simplement de la balle d'apophyse, également appelée tir d'apophyse. Pour éviter toute mésaventure, il est crucial de comprendre cet événement. Et puisqu’un chasseur avertit en vaut deux, découvrez dans cet article ce qu’est une balle d'apophyse dans le cas du sanglier. 
 

Explication de la balle d’apophyse

 - Le tir d'apophyse vise spécifiquement une zone osseuse juste au-dessus de la colonne vertébrale du sanglier. Cette zone est assez basse par rapport au pelage, surtout lorsque celui-ci est hérissé ou plus fourni comme en hiver. Pour le tireur, la zone critique se situe juste en dessous des vertèbres du cou. En effet, cette zone est complètement dépourvue d'organes vitaux.

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crédit photo : Shutterstock

 - Lorsqu'un sanglier reçoit une balle d'apophyse, il est assommé temporairement. En conséquence, après avoir été touché, l'animal peut chuter sur le dos, agiter ses pattes, puis se redresser rapidement pour s'enfuir. Il peut également tomber, sembler inerte pendant un court laps de temps, puis reprendre ses esprits. L’animal repart alors de plus belle sous vos yeux ébahis.
 - En outre, lorsqu’un suidé est touché par une balle d’apophyse, vous remarquerez souvent à l’anschuss (endroit précis où se tient le gibier au moment du tir) la présence de poils d’échine et quelques légères traces de sang. Étant donné que la balle ne touche aucun organe vital, traquer l’animal est presque impossible. Le sang provenant des blessures tend à s’atténuer rapidement. Les traces laissées par un animal réellement blessé seront généralement plus marquées. D’autant plus qu’un chasseur expérimenté est capable de discerner facilement les indices laissés par un animal blessé de ceux laissés par un animal en bonne santé. 

Conseils pour éviter le tir d’apophyse

 - Pour éviter la balle d'apophyse, il est essentiel de comprendre l'anatomie du sanglier. En effet, savoir identifier et localiser les zones vitales de l’animal est impératif. Cela permet de savoir où placer son tir afin d’assurer une mort rapide à l’animal. Vous éviter également de le blesser inutilement.
 - De plus, l’entraînement régulier est crucial pour éviter le tir d’apophyse. Lorsqu’un chasseur débute, il se doit de perfectionner son tir, en particulier à longue distance. C’est bien alors que la plus grande précision est de mise. Le meilleur moyen d’apprendre est de pratiquer dans un centre de tir, ou tout simplement de participer à des parties de chasse en compagnie de personnes expérimentées.
 - Enfin, pour éviter les mésaventures dans le cas d’un éventuel tir d'apophyse, la prudence et la vigilance sont de rigueur. Après avoir effectué un tir, même si vous pensez que l'animal est mort, patientez quelques instants avant de vous approcher de la zone de tir. Soyez toujours prêt à effectuer un second tir si jamais l'animal se relève. Cette précaution supplémentaire peut éviter des situations dangereuses.
 - Pour terminer cet article, nous vous invitons à regarder la vidéo ci-dessous dans laquelle un chasseur partage son expérience avec la balle d’apophyse. 




 

Cinq patous s’attaquent à une randonneuse dans les Alpes

 
Patous

 

Les attaques de patous se multiplient. Ces chiens chargés de protéger les troupeaux s'en sont pris à une randonneuse dans les Alpes.
 - Ce dimanche 21 juillet, une femme de 35 ans a fait une drôle de rencontre. Alors qu’elle bivouaquait sur le plateau de Sornin dans le Vercors, elle a dû faire face à l’attaque de cinq patous. Ces chiens qui sont utilisés par les bergers pour protéger les troupeaux dans les alpages sont en effet de redoutables molosses. Plus de peur que de mal heureusement pour la jeune femme qui a réussi à s’enfuir avant l’arrivée des secours.

5 patous pourchassent une randonneuse

 - Alors qu’elle avait passé la nuit à profiter de la nature, la jeune femme s’est retrouvée nez à nez avec un premier patou. D’après ses dires, celui-ci se serait attaqué à son sac à dos. Suite à cet assaut, c’est pas moins de quatre autres chiens qui se sont joints au premier. Ils ont alors pris en chasse la randonneuse qui a réussi par miracle à trouver refuge dans un arbre. Une fois à l’abri, elle a pu joindre les secours. C’est ainsi que les CRS Alpes ont pu venir, dans la foulée, récupérer la randonneuse encore sous le choc, en hélicoptère.

Les patous, de redoutables protecteurs

 - Ce n’est pas la première fois qu’une attaque de ce type a lieu. Un autre randonneur s’était déjà fait attaquer dans le Vercors alors qu’il parcourait le GR9. Il avait d’ailleurs pris la peine de raconter son attaque et cela fait froid dans le dos. « Trois patous massifs m'ont tourné autour, jusqu'à ce que l'un attaque. Il m'a mordu au bras droit. Un ou deux me mordent très sévèrement à la cuisse. J'ai cru que c'était la fin. L'attaque a duré une ou deux minutes, mais j'ai trouvé ça interminable, un film d'horreur. J'ai cru que j'allais mourir ». Deux récits similaires, cependant les bergers se refusent catégoriquement à se passer de leurs protecteurs de troupeaux. Selon eux, c’est aux randonneurs d’adapter leurs comportements. De nombreuses sensibilisations sont d’ailleurs effectuées.

Des protecteurs indispensables selon les bergers

La présence de ces chiens est en effet un gage de sécurité pour les bergers. Ils sont le seul moyen de protéger les troupeaux des attaques de loups. C’est ce qu’expliquait Frédéric Gontard, président de la fédération départementale ovine de la Drôme. « Pour moi, le problème, c'est surtout qu'il y a beaucoup de loups dans le département, et donc on a beaucoup de chiens de protection pour se protéger, on n'a pas d'autre solution. Le prix à payer pour avoir le loup, c'est les chiens de protection, vous nous enlevez le loup, on enlève les chiens de protection, comme avant, et il n'y aura plus aucun soucis ». La cohabitation est donc de rigueur et pour cela, il est important que les randonneurs soient sensibilisés à la présence de ces chiens afin d’adopter les bons réflexes.

Les bonnes attitudes à avoir face aux patous

 - La réintroduction des loups a donc obligé les bergers à s’équiper en prévention. Celle-ci est désormais la responsabilité de ces patous avec lesquels les randonneurs doivent désormais cohabiter. Ces immenses toutous qui sont supposés défendre les troupeaux peuvent donc interpréter certains gestes des personnes qu’ils croisent comme une attaque, d’où leurs mauvaises réactions. C’est en tout cas l’analyse de Raymond Riera, un berger des Alpes. « Il a dû y avoir une mauvaise réaction de la randonneuse. Quand les gens arrivent au niveau des brebis et des chiens et qu'ils commencent à s'exciter, voire à courir, les chiens prennent cela pour une attaque ». Ce même berger explique par ailleurs : « Il y a six ou sept panneaux sur l'alpage pour expliquer la présence des chiens et le comportement à adopter face à eux, notamment le fait qu'il ne faut pas bouger ». Vous êtes désormais prévenus si jamais, d’aventure, vous deviez croiser un troupeau de moutons lors d’une randonnée cet été.




 

Vidéo BFM TV :
Les gendarmes du Vaucluse sauvent 3 sangliers de la noyade

 
 
Source : chassons.com

 Dans ce court montage vidéo, diffusé sur Instagram par la page de la chaine d’information BFM TV, vous allez découvrir comment les gendarmes du Vaucluse ont procédé récemment au sauvetage de trois sangliers qui, sous l’effet de fortes chaleurs estivales du sud de la France, s’étaient jetés à l’eau dans un bassin de rétention et s’y trouvaient prisonniers.

 - Deux militaires de la gendarmerie équipés d’un lasso initialement prévu pour la capture des chiens dangereux ou errants ont ainsi pu hisser les animaux sur la berge et les voir ensuite regagner la liberté.
 -
Lors de cette mission dans une commune du département, ces gendarmes, qui ont reçu pour l’occasion le renfort du garde champêtre, ont fait montre de toute la polyvalence et l’investissement des militaires de cette arme d’élite qu’est la Gendarmerie Nationale.
 - M
ême si la surpopulation de sangliers est un problème de plus en plus critique sur nos territoires, il aurait été cruel de laisser ses superbes animaux se noyer et on ne peut que saluer ces gendarmes pour leur professionnalisme et leurs qualités de cœur.
 - Découvrez le sauvetage de 3 sangliers, qui risquaient la noyade, par les gendarmes du Vaucluse en regardant cette vidéo :


Par Frédéric Buszkowski
Pour chassons.com



Mr Lescourège
Les jeux olympiques



Faut voir le bordel à la capitale et après ils veulent gérer la campagne !
 
Source : youtube.com
 

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