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ACTUALITÉS  DU DIMANCHE


 
Dimanche 28 décembre 2025
 

Déferlement de haine sur les réseaux sociaux :
la fédération des chasseurs de la Somme réagit


haine reseaux sociaux

Devant le déferlement de haine et de propos abjectes sur les réseaux sociaux après la mort d’un homme, chasseur, tué par un « braconnier », la FDC de la Somme sort de son silence.


Dimanche un homme de 45 ans, chasseur, a été retrouvé mort dans ses bois.
 - Un décès consécutif à un tir.
 - L’enquête s’oriente très vite vers un acte intentionnel.
 - Et non pas un accident de chasse comme on peut le lire dans certains médias.
 -  Le suspect, un jeune homme de 22 ans a reconnu les faits lors de sa garde à vue.
 - Selon une source proche du dossier, le mis en cause a expliqué être entré sur cette parcelle privée.
 - Son but : tenter de trouver une proie.
 - Aperçu et poursuivi par le propriétaire du bois, le jeune homme aurait alors paniqué.
 - Et tiré dans sa direction avec son fusil, sans vouloir le tuer.
 -  Ce qui déclenche très rapidement une surmédiatisation provient du fait que le jeune homme est chasseur.
 - Et que l’homme décédé est aussi chasseur.
 - Trop facile pour les anti chasse de s’emparer de l’affaire.
 - Il est vrai que dire que la personne décédée est un menuisier aurait été beaucoup moins « vendeur ».

 - Il n’en fallait donc pas plus pour faire exploser les messages sur les réseaux sociaux.
 - Rien que sur notre page Facebook nous pouvons lire : «  C est si bon de les regarder s entretuer. ». Ou encore «  Ha bon finalement c’est un mauvais chasseur qui a tué un bon chasseur…… Donc si je comprends bien c’est de l’auto régulation !!! ». « La nature a prélevé un chasseur; un beau spécimen lors de cette belle journée ».

La Fédération des Chasseur de la Somme réagit au déferlement de haine sur les réseaux sociaux


« La FDC de la Somme souhaite réagir avec gravité et émotion au drame survenu à Domart-en-Ponthieu, ayant coûté la vie à un homme. La Fédération des chasseurs tient avant tout à exprimer son soutien le plus sincère à la famille et aux proches de la victime. La disparition d’une vie humaine est toujours une tragédie. Elle l’est d’autant plus lorsqu’elle survient pour des faits qui apparaissent dérisoires au regard de leurs conséquences irréversibles »,

« La Fédération s’émeut et déplore vivement les nombreux propos haineux, indécents et parfois réjouis face à ce décès, qui ont circulé sur les réseaux sociaux. Si le débat d’idées et la liberté d’expression sont des principes fondamentaux, ils ne sauraient en aucun cas justifier des débordements, ni l’instrumentalisation d’un drame humain à des fins idéologiques. On peut contester des pratiques ou des convictions ; on ne peut ni se réjouir de la mort d’un homme, ni manquer de respect à sa mémoire et à celle de sa famille. »

« La Fédération des chasseurs de la Somme rappelle que ce drame ne doit pas servir de prétexte à relancer des polémiques, quelles qu’elles soient. Le respect du défunt et de ses proches doit l’emporter sur toute autre considération. La Fédération réaffirme par ailleurs son entière confiance dans le travail de la justice et des forces de l’ordre, seules compétentes pour établir les faits et déterminer les responsabilités. Dans ce contexte douloureux, la Fédération des chasseurs de la Somme appelle chacun à la retenue, à la dignité et au respect des valeurs humaines fondamentales ».



















 

 




Pour lechasseurfrancais.com
 

Le gibier, viande d’exception pour sublimer les tables de fin d’année

 
 
Venaison viande de gibier
Source
chassons.com


Longtemps cantonné aux souvenirs de cuisine familiale ou aux civets d’automne, le gibier signe aujourd’hui un retour remarqué sur les tables de fête. Sanglier, cerf, chevreuil ou lièvre s’invitent à Noël et au Nouvel An avec une image renouvelée, celle d’une viande noble, raffinée et profondément ancrée dans une gastronomie responsable. Des grandes tables étoilées aux repas de fin d’année entre proches, le gibier retrouve toute sa place dans les moments d’exception.

 - Autrefois incontournable lors des repas de fête, le gibier avait peu à peu disparu des habitudes culinaires. Aujourd’hui, il renaît porté par une nouvelle génération de chefs et de passionnés qui en révèlent la finesse. Exit les viandes trop faisandées ou les sauces lourdes, place est désormais donnée à des préparations délicates, maîtrisées, où le goût naturel de la venaison s’exprime pleinement.

Rôtis de sanglier longuement marinés, noisettes de chevreuil rosées, cerf maturé servi en tartare ou en pièce noble… Le gibier se décline avec élégance et s’impose comme une alternative prestigieuse aux traditionnelles volailles festives. Il apporte à la table une dimension à la fois authentique et spectaculaire, idéale pour marquer les grandes occasions.

Une viande noble, saine et responsable pour les grandes occasions

Au-delà du plaisir gustatif, le gibier séduit par ses qualités nutritionnelles et environnementales. Naturellement maigres, les viandes de gibier sont riches en protéines et pauvres en matières grasses. Issues d’animaux vivant en totale liberté, elles ne nécessitent ni élevage intensif ni alimentation industrielle.

Consommer du gibier, c’est aussi faire le choix d’une viande locale et responsable, dont la chasse encadrée contribue à l’équilibre des écosystèmes. À l’heure où les consommateurs recherchent du sens dans leur alimentation, le gibier s’impose comme une réponse cohérente, une viande sauvage, traçable et respectueuse de la nature, parfaitement en phase avec l’esprit des fêtes.

Quand les chefs réinventent le gibier et séduisent de nouveaux convives

Si le gibier retrouve les tables de fête, c’est aussi grâce à la créativité des chefs. Aujourd’hui, ils n’hésitent plus à le revisiter dans des recettes audacieuses tels que des kebabs de chevreuil, chili de cerf, ramen de venaison ou terrines délicatement parfumées. Ces interprétations modernes rassurent et séduisent une clientèle plus jeune, parfois éloignée de la culture cynégétique. Sur les belles tables, le gibier devient synonyme d’excellence culinaire, servi avec des accords subtils, souvent accompagnés de vins blancs ou de jus acidulés qui en exaltent la fraîcheur. Il n’est plus seulement un plat, mais une expérience gastronomique à part entière.

 

En cette période de fêtes, choisir le gibier, c’est offrir à ses convives un repas chargé de sens, de goût et de convivialité. Une façon élégante de renouer avec une tradition française tout en l’inscrivant pleinement dans la modernité.

Par Arnaud Valmont 
Pour chassons.com


   Wallonie

Plus de 100 sangliers prélevés en une journée de chasse qui fait débat

Le 16 décembre dernier, une battue impressionnante s’est déroulée avec le prélèvement de 127 animaux. Près de 500 sangliers ont été observés et plus de 100 ont pu être prélevés  dans le massif forestier de Saint-Hubert mais la presse locale à rapidement décidé de s’emparer de l’affaire, affirmant que cette journée de chasse a suscité l’indignation en Wallonie.

 

Une chasse qui a fait réagir la presse locale.

 de " pur carnage", des propos qui ne passent pas chez les responsables de la chasse en question.- Chez nos voisins de Wallonie, une journée de chasse a permis le prélèvement de nombreux animaux.
 - En tout, 127 ont pu être dénombrés au tableau de chasse et 103 sangliers ont été abattus ce jour là.
 - Rapidement, le tableau fait réagir dans la presse locale et comme chez nous, on a pu lire tout et n’importe quoi.
 - Certaines personnes auraient même qualifié cette battue
 - Le gestionnaire des parcelles concernées a même été contraint de prendre la parole pour expliquer le contexte de cette chasse.éusie mais loin d’un « carnage ».

 - Un animal abattu tous les 15 hectares sur 1900 hectares traqués par une cinquantaine de chasseurs, voilà la réalité des prélèvements du 16 décembre.
 - Stéphane Abras, gestionnaire des chasses de la Couronne rappelle auprès des journalistes de lAvenir.net que certaines chasses concentrent cent bêtes sur 200 hectares seulement.
 - Difficile donc de parler de massacre dans ces conditions.
 - 103 sangliers prélevés sur plus de 500 observations, les chiffres parlent d’eux-mêmes.
 - La surpopulation est devenue critique dans la région, avec son lot de dégâts : régénération forestière détruite, ravages dans les cultures et chez les particuliers, sans oublier les accidents routiers sur les grands axes.
 - L’aspect sanitaire pèse également dans la balance avec la Peste Porcine Africaine qui fait son retour en Europe.
 - Sans action ferme des chasseurs dès maintenant, les populations continueront de grimper en 2026 et les dégâts suivront.
 - Une perspective que les Chasses de la Couronne refusent d’envisager les bras croisés.
 - Le gestionnaire insiste également sur l’éthique respectée car des consignes ont été respectées : tirer d’abord les jeunes, épargner les laies avec leurs marcassins


Pour chassepassion.net


Richard sur Terre

Le Verdon pollué. je suis écoeuré

Source : youtube.com
 
 

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