Les chasseurs de la Société de chasse la Garrigue à St Rémy de Provence sont habitués aux gros sangliers, mais un record a été battu le week end dernier.
- 152 kg il y a longtemps, 151 cette année, ce n’est pas la 1ere fois qu’un sanglier bat un record à St Rémy de Provence. - Mais cet fois le poids a surpris les chasseurs de la Garrigue. - Et c’est très certainement un record dans le Massif des Alpilles.
171 kg : sanglier record à St Rémy de Provence
- La mairie de St Rémy de Provence l’avait annoncé sur les réseaux sociaux : « La société de chasse La Garrigue informe qu’à la suite d’une forte demande des riverains, l’équipe du Grès a prévu une battue aux sangliers mercredi 22 octobre 2025 au lieu-dit « Tour de Léron ». - Il faut dire que les sangliers sont nombreux sur la commune. - Provoquant des dégâts un peu partout. - Eric Giovanneschi, président de la Société de chasse la Garrigue nous expliquant êtrre sollicité tout au long de l’année. « Je suis appelé régulièrement pour des dégâts dans les propriétés. Nous avons beaucoup de sangliers sur notre territoire de près de 3 000 hectares. Avec un tableau annuel de 150 à 200 animaux ». - Mais ce 22 octobre c’est bien un sanglier record qui a été prélevé par Julien. - Levés par les chiens, il a immédiatement pris la fuite, passant près de Julien. - 5 balles de 300 magnum auront été nécessaires pour mettre à terre l’imposant animal. - Heureusement aucun chien n’a eu à subir les assauts de la bête noire.
Partez à la découverte du sanglier des Alpilles
- Coïncidence avec ce prélèvement record, la chaine Arte diffusera le lundi 3 novembre à 11h40 un long documentaire sur le sanglier dans les Alpilles. " Dans les forêts, les champs ou en périphérie des villes, la cohabitation avec le sanglier s'est fortement dégradée en raison de sa surpopulation. L’écologue et géographe Raphaël Mathevet cherche à comprendre les tensions générées par l’animal et à élaborer des stratégies pour restaurer cette cohabitation autrefois harmonieuse". - Un documentaire immersif tourné à hauteur de sanglier. - Vous pouvez découvrir ce reportage en avant première à ce lien.
Savez vous combien il y a d’ours en Europe ? Dans quels pays sont-ils les plus nombreux ? Comment sont-ils gérés ?
- 5 000, 10 000 ? plus ? - Et oui, l’Europe abrite une population de 22 000 ours. - Avec des fortes disparités en fonction des Pays. - Des chiffres dévoilés lors duSéminaire Européen sur la cohabitation avec l'ours organisé par le Parlement Avenir Montagne Ariège.
Quel est le pays qui abrite la plus forte population d’ours ?
- C’est la Roumanie. A elle seule elle abrite une population de 14 000 ours. - Suivie par la Suède : 2 400 et la Finlande : 2 300 individus. - Puis la Slovaquie avec 1 300 individus, la Slovénie1 100, et l’Estonie. - Les autres pays considérés avoir une population « fragile » : L’Espagne : 370, la Norvège175, l’Italie148, et la France96. - Enfin l’Allemagne,l’Autriche et même la Suisse compte chacun 1 individu repéré en fonction des années.
A-t-on le droit de prélever des ours ?
- Oui et non. - L’ours étant strictement protégé par la Convention de Berne. - Néanmoins un article prévoit des dérogations encadrées. - A condition qu’il n’existe pas d’autre solution satisfaisante. - Mais aussi que la dérogation ne nuise pas au maintien, dans un état de conservation favorable. - Des dérogations possibles dans « dans l’intérêt de la santé et de la sécurité publiques. Ou pour d’autresraisons impératives d’intérêt public majeur.Y compris de nature sociale ou économique ». - Ainsi certains pays appliquent des taux de prélèvements.
Combien d’ours sont prélevés et dans quels pays d’Europe ? - Dans les pays à forte population d’ours : La Roumanie prélève environ 500 ours chaque années. - La Finlande entre 400 et 500. - La Slovaquie dispose d’un taux de 33% par an, la Suède et la Slovénie de 20% et l’Estonie de 10%. Dans les pays où la population est considérée comme fragile. - La Norvège peut prélever 20 ours par an. L’Italie 8, uniquement dans le Trentin. - Pour les autres pays aucun prélèvements n’est appliqué, même s’ils sont possibles.
Un arrêté préfectoral impose depuis jeudi des contraintes sanitaires strictes aux éleveurs et chasseurs du secteur de Gien. En cause : la découverte mercredi d’une grue cendrée porteuse du virus de la grippe aviaire, première victime recensée dans le département.
Les chasseurs et éleveurs soumis à de nouvelles obligations dans le Loiret.
- L’arrivée du virus dans le Loiret était plutôt attendue. - Le territoire étant positionné sur un axe migratoire majeur, il représente une zone à haut risque que la préfecture surveille désormais de très près. - Sept communes entourant le point de découverte sont désormais concernées par des restrictions immédiates :
Arrabloy,
Briare,
Gien,
Poilly-lez-Gien,
Saint-Brisson-sur-Loire,
Saint-Firmin-sur-Loire,
Saint-Martin-sur-Ocre
- L’arrêté interdit formellement le lâcher ou le déplacement de gibier à plumes dans ce périmètre. - Les professionnels en contact avec les volatiles doivent appliquer des protocoles d’hygiène renforcés. - Certains élevages classés sensibles devront également procéder à des autocontrôles réguliers pour détecter d’éventuelles contaminations.
Une situation jugée plutôt contenue par les autorité.
- Malgré la confirmation de ce premier foyer, la préfecture affiche une certaine sérénité. - L’impact reste limité avec un seul touché découvert dans un secteur peu concentré en exploitations avicoles et qui n’attire pas de réels regroupements massifs d’oiseaux sauvages. - Ces conditions permettent d’envisager une gestion maîtrisée de l’épisode, à condition que les acteurs concernés respectent scrupuleusement les consignes sanitaires en vigueur. - Une mauvaise nouvelle pour les chasseurs et les éleveurs du secteur ainsi que des restrictions fortes mais qui, on l’espère, ne seront que de courte durée.
REWORLD MEDIA se décrit lui-même comme une « usine à contenus ». Et dans les faits, c’est exactement ce qu’elle est devenue : une machine à produire des articles à la chaîne, sans auteur, sans recul, sans âme. - Dans cette vidéo, on démonte pièce par pièce comment ce système transforme la presse en pipeline d’articles interchangeables : – un faux témoignage inventé autour d’un guide de la LPO, – un article absurde sur les “chasseurs porte-bonheur”, – et des balles de chasseurs qui tombent du ciel
- Trois exemples concrets, un même modèle : l’industrialisation du mensonge. - Quand plus personne ne relit, quand tout devient “contenu”, la vérité disparaît entre deux clics. - La fabrique du mensonge” — un épisode qui ne parle pas que de chasse, mais de ce que devient l’information.