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ACTUALITÉS  DU SAMEDI


 
Samedi 5 Juillet 2025
 

Emmanuel Macron veut prélever davantage de loups


 

Une petite phrase d’Emmanuel Macron lors d’un déplacement dans l’Aveyron fait l’effet d’une bombe : il reconnait qu’il y a trop de loups à certains endroits.

 - Emmanuel Macron le dit, même si ce n’est pas lors d’un discours officiel : on ne va pas laisser les loups se développer.
 - Si du côté du monde de l’élevage on se félicite, du côté des pros loups, autant le dire, ça tousse fort.

Emmanuel Macron annonce : «  il faut en prélever ( des loups) davantage »

 - Lors d’un déplacement dans l’Aveyron, le chef de l’État français est venu soutenir les éleveurs.
 - Un soutien qui fait couler l’encre de toutes les salles de rédactions de la presse Française.
 - Car le président n’a pas maché ses mots.
 - Apportant un soutien sans faille aux éleveurs.
 - A l’origine il est venu en Aveyron, et plus précisément à Roquefort sur Soulzon pour le centenaire de l’AOP du fromage local mondialement connu.
 - Mais au-delà de cet anniversaire, le président en a profité pour faire des annonces.
 - Des annonces attendues par le monde de l’élevage.
 - Des annonces bienvenues après les attaques récentes

« Est-ce que je suis pour la biodiversité ? Oui, à fond. Mais j'avais pris l'engagement de revoir les règles de classement du loup. On a réussi il y a quelques jours à le faire passer d'espèce 'très protégée' à   'protégée' ». Et le président de préciser : « On ne va pas laisser le loup se développer et qu'il aille dans les massifs où il est compétition avec des activités qui sont les nôtres ».

  • «  Et donc ça veut dire qu’il faut, comme on dit pudiquement, le prélever davantage ».

 - Emmanuel Macron a notamment argué que la présence de l’ours, du loup « et même du vautour » conduisait les éleveurs à laisser leurs bêtes « en bas ». « Et donc on a des terres qui redeviennent de la friche, de la broussaille et du coup qu’est ce qui se passe ? Je vous le parie, dans quatre ans, on aura des incendies ».

« Tous les gens qui inventent des règles et qui ne vivent pas avec des bêtes dans des endroits où il y a l’ours qui redéboule ou le loup, qu’ils aillent y passer deux nuits ». Assurant connaître « l’angoisse que ça représente ». Fustigeant l’accumulation des règles imposées aux éleveurs.

Des paroles, mais seront-elles suivies d’actes ?

 

 - Du côté des éleveurs on se félicite de cette prise de position.
 - Mais beaucoup restent frileux.
 - Ayant peur d’un simple effet d’annonce.
 - D’un « buzz » médiatique. Car soyons honnête entre l’annonce du président et les actes sur le terrains, l’eau risque de couler sous les ponts. Et de nombreuses moutons et vaches se feront encore dévorer.

 
 
 
 
 


















 
 

Louis de Redon : nouveau conseiller chasse auprès du 1er ministre

 
 

Louis de Redon, avocat d'associations environnementales vient d’être nommé « conseiller …chasse et forêt (chef de pôle) au cabinet du Premier ministre ».

 - Souvenez vous de l’affaire de la maire de Valaire.
 - La maire de la commune avait pris un arrêté en 2019 visant à interdire la pratique de la vénerie sous terre.
 - Son avocat, défendant son arrêté, s’appelle Louis de Redon.
 Il explique alors à la cour que la vénerie sous terre est : « une pratique cruelle et purement récréative, source de souffrance inutiles ».

Louis de Redon : avocat d’associations environnementales

 - Louis de Redon est maître de conférences en Droit de l’environnement, avocat, ingénieur agronome et docteur en Biologie.
 - Il serait difficile d’énumérer toutes ses fonctions.
 - Mais ce qui a attiré notre attention est sa présentation au verso de son ouvrage «  Cessez le Feu, Traité de paix avec le nature ». On peut y lire qu’il est « avocat d’associations environnementales ».
 - Et en effet en 2020 il défend Catherine Le Troquier, maire de Valaire.
 - Une maire soutenue dans son arrêté d’interdire la vénerie sous terre sur sa commune par de nombreuses associations animalistes.
 - L’une d’elle écrit en parlant de Louis de Redon : «  l’élue de Valaire a reçu le soutien d’un avocat spécialisé pour blinder son arrêté avec un argumentaire long de 6 pages ! ».

Pour ce procès la Nouvelle République  écrit :
 
Représentante du préfet, Mme Poulin soulevait la seule question de droit du ressort de la juridiction administrative. « Le tribunal se prononce sur la légalité, et non sur la moralité de cette interdiction. »
 - Défendant l’élue locale, Me Louis de Redon n’avait pour sa part nulle intention de dépouiller le débat de son contenu émotionnel.
 - Il évoquait aussi « le risque sanitaire » lié à cette chasse, et plus généralement « une pratique cruelle et purement récréative, source de souffrance inutiles ».

 - Charles Lagier, ancien avocat conseil à la FNC se souvient de l’avoir face à lui à quelques reprises. Et se souvient aussi de ses positions résoluments anti chasse

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Après un passage au ministère de l’agriculture, Louis de Redon devient conseiller chasse auprès de François Bayrou

 - En juin 2023 il devient Conseiller du ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire.
 - Il est en charge de la planification écologique.
 - Mais aussi des dossiers relatifs à l’eau, aux ressources naturelles.
 - A la biodiversité, à la filière forêt-bois et aux polices de l’environnement.
 - Il quitte ses fonctions à l’agriculture en juin. Nommé désormais pour le poste de conseiller agriculture, alimentation, pêche, chasse et forêt (chef de pôle) au cabinet du Premier ministre
 - Une nomination qui tout naturellement interpelle dans le monde de la chasse.
 - Quelqu’un nous confie «  mais c’est impensable. Le ministère n’a pas fait des recherches sur lui ? Comment peut on nommer un anti chasse à un poste de conseiller chasse ? ».


 

Marne : chasseurs et gendarmes unis pour défendre les territoires ruraux

 
 
source : chassons.com

Prévention, réglementation, sécurité : dans la Marne, la collaboration entre chasseurs et gendarmes ne se limite plus à quelques échanges formels. Elle s’incarne désormais dans un partenariat structuré, renforcé le 2 juillet dernier à l’occasion d’une journée de sensibilisation croisée entre la Fédération Départementale des Chasseurs de la Marne (FDC 51) et le Groupement de Gendarmerie Départementale de la Marne (GGD 51).

Une convention qui dépasse les mots

 - Signée en mai 2024, cette convention vise à coordonner les actions entre les acteurs cynégétiques et les forces de l’ordre, en particulier pour lutter contre les atteintes à l’environnement : braconnage, incivilités, non-respect des réglementations, ou encore intrusions sur les zones de chasse
 - Mais plus qu’un simple accord, cette coopération se veut opérationnelle et réciproque.

Une journée de formation mutuelle

 - Le 2 juillet, à la Maison de la Chasse et de la Nature, cette volonté s’est traduite par une formation partagée :-  Le matin, ce sont les enquêteurs environnement du GGD 51 et la Brigade Environnementale du Grand Reims qui ont été sensibilisés aux réalités de la chasse : organisation des battues, fonctionnement des Groupements d’Intérêt Cynégétique, responsabilités des gardes-chasse particuliers, et évolutions réglementaires récentes.
- L’après-midi, les présidents de GIC, gardes-chasse particuliers, piégeurs marnais et autres acteurs cynégétiques ont à leur tour bénéficié d’une intervention de la gendarmerie sur des sujets concrets : gestion des incivilités et conflits, risques liés à la cybercriminalité et procédures à suivre en cas d’accident de chasse.

Un partenariat pour la sécurité et la confiance

 - Cette initiative s’inscrit dans une dynamique de dialogue territorial concret.
 - Elle contribue à mieux faire comprendre les missions des uns et des autres, à renforcer la prévention, et à protéger les espaces ruraux contre les comportements déviants ou dangereux. 
 - Une démarche exemplaire qui montre, une fois de plus, que le monde de la chasse n’est pas un problème pour la sécurité publique : il en est un partenaire de terrain.

Par Frédéric Buszkowski
Pour chassons.com


Quand le média « L’Indépendant » tente de faire son beurre en visant les chasseurs

ONF condamnée à payer les chasseurs
Source : 
 

Les chasseurs sont souvent la cible de personnes qui s’autoproclament être des « lanceurs d’alerte » qui n’hésitent pas à sortir de leur contexte des histoires afin de faire le buzz sur les réseaux sociaux. Si la recherche de célébrité de certains peut s’avérer compréhensible, la manière de traiter l’information est beaucoup plus sensible quand il s’agit d’un média reconnu comme c’est le cas aujourd’hui pour « L’Indépendant » qui a publié ce jour un article qui vise clairement à faire le buzz sur le dos des chasseurs Français.
 

Des sangliers jetés dans les poubelles.

« Ils en tuent tellement que ces chasseurs jettent les sangliers à la poubelle… L’association de chasse locale s’indigne » voilà le titre d’un article que l’on retrouve aujourd’hui sur le site de L’Indépendant avec une image bien choisie de sangliers entassés dans des bacs et sur un chemin.
- En effet, des chasseurs ont procédé à l’abattage de nombreux sangliers et cette semaine, les images des sangliers jetés dans des conteneurs qui n’étaient pas prévus pour ont circulé sur le web.
 - Ce que le journal ne précise que vers la moitié de son article (bien loin de là ou la majorité des internautes pousseront la lecture) c’est qu’il s’agit d’une observation réalisée en Espagne.
 - C’est d’ailleurs la Fédération de chasse de Gerone qui montre avec agacement ces images en dénonçant cette pratique.
 - Même si le nombre de sangliers est préoccupant sur certaines parcelles et que les tirs de destructions sont à l’origine de la prise en charge de nombreuses carcasses, elles doivent être traitées de la bonne manière.
 - La Fédération rappelle également qu’un service de collecte travaille en relation avec les services territoriaux et qu’il est nécessaire de les contacter pour qu’ils prennent en charge les carcasses pour des raisons de santé publique.

Viser les chasseurs et s’offrir un buzz.

 - C’est malheureusement devenu une pratique récurrente chez certains journalistes qui ont bien compris que « charger les chasseurs » était une source de buzz potentielle à ne pas négliger.
 - Nous avons déjà épinglé le journal Paris-Normandie récemment pour des faits similaires et c’est donc L’Indépendant qui s’essaye à l’exercice pour cette fois.
 - Le problème de ce genre de pratiques est qu’elle vise (volontairement ou involontairement) à nuire à l’image des chasseurs Français.
 - De tels titres ont simplement pour but de gagner des partages sur les réseaux sociaux ce qui devient une vraie mine d’or pour les anti-chasse d’une part, qui relaient l’article sans même le lire en y allant de leurs commentaires « vous avez vu les chasseurs c’est des vilains, il faut interdire la chasse en France » et qui d’autre part laisse planer le doute sur l’origine du fait divers.
 - Le chasseur Français pratique une activité légale, soumise à une réglementation forte et il n’a pas besoin de subir des attaques pour des faits qui se passent partout dans le monde.
 - Sinon, autant montrer une antilope qui vient d’être éventrée par un lion en affirmant qu’il s’agit d’un chasseur ?   - Comme en Espagne, les chasseurs de France ont une éthique et un respect de l’animal.
 - Cela ne veut pas dire que des brebis galeuses ne sont pas encore dans nos rangs mais comme en Espagne, nos Fédérations et le monde de la chasse tout entier auraient été profondément révoltés d’une telle façon d’agir.


 


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