* Michel BLANC : - 06 62 61 65 91 - regine.blanc-michel@orange.fr *

Je reste à votre disposition pour toutes questions, conseils ou informations.
Retour%20AccueilN'hésitez pas à me contacter



ACTUALITÉS  DU MARDI
 

 

Mardi 23 avril 2024

https://yt3.googleusercontent.com/rOYiwclsngtDxpVCrjU1L72Yjj37h9UVs049D1wI2tKKgXq31QkAE3FZugbTZG6OvjrjUwPC=s176-c-k-c0x00ffffff-no-rj

Le mot de fin du saison du Président

Source : chasseurdefrancetv



 

Grand gibier : un accord national conclu entre la FNC et l’ONF

 
 
Group,Of,Male,Red,Deer,With,Big,Antlers,In,A

La FNC et l’ONF ont conclu un accord global national relatif à la gestion du grand gibier dans les forêts domaniales afin de favoriser l’équilibre sylvo cynégétique.  

 - Cet accord « grand gibier » s’inscrit dans la continuité des accords signés au Salon international de l’agriculture en 1er mars 2023. Un accord entre la Fédération Nationale des Chasseurs, les représentants des agriculteurs et l’Etat visant à réduire les dégâts de grand gibier qui pénalisent les forestiers et les agriculteurs. Dans un communiqué la FNC explique les détails de cet accord. Pas sur qu’il satisfasse tous les chasseurs !!!!
 - Cet accord ne concerne nullement les 3/4 trois quarts des forêts françaises qui sont privées. Il y a en France 13 millions d’hectares de forêt privées. Le quart restant (4,3 millions ha) est public. Il se répartit entre forêts domaniales (1,5 millions ha). Et les autres forêts publiques, essentiellement communales (2,8 millions ha).

Baisse de la population de grand gibier contre baisse des prix les loyers de chasse

 - Des actions ciblées pour rétablir l’équilibre dans les zones à fort enjeu de renouvellement forestier
 - L’accord matérialise la volonté d’actions communes notamment par la mise en œuvre de dispositifs tests pour les zones à fort enjeu pour le renouvellement forestier. Ces dispositifs se fondent sur un principe « gagnant-gagnant ». Une baisse de la population de grand gibier par une augmentation des prélèvements. Contre une baisse des prix de loyers de chasse ou le versement de bonus importants.
 - Ainsi, dans les zones en déséquilibre forêt-gibier, l’ONF s’engage à « promouvoir une réduction significative des loyers pour les locataires de baux domaniaux et les Fédérations s’engageant à favoriser une augmentation des prélèvements » dans le cadre des plans de chasse. Ce bonus « plan de chasse » est accordé sous certaines conditions.
 - Dans les lots ayant déjà atteint l’équilibre et financés par des fonds publics, l’accord prévoit de « récompenser les comportements qui permettent le renouvellement par plantation sans protections ». Ce bonus « hectares renouvelés par plantations sans protections » est accordé aux locataires volontaires des lots sous conditions et différentes modalités.
 - Dans les zones où ces actions sont mises en œuvre, l’ONF s’engage à favoriser des mesures sylvicoles et des aménagements d’espaces naturels attenants. Ceci afin d’améliorer la capacité d’accueil du milieu. Grace à l’entretien des bords de routes et des sommières. Le maintien d’un sous-bois appétant, la conservation de feuillus naturels. Mais aussi la  gestion des lisières en privilégiant les lisières étagées. Ou encore le maintien de chablis de résineux ou de houppiers d’arbres abattus.

L’agrainage dissuasif, un levier pour faire baisser les dégâts agricoles et forestiers

 - La FNC et l’ONF conviennent également d’utiliser l’agrainage comme un levier contribuant à faire baisser les dégâts agricoles et forestiers et à faciliter les prélèvements. Dans ce cadre, il sera possible de déployer un agrainage dissuasif dans les forêts domaniales. Conformément au décret du 28 décembre 2023. Lorsque cela est demandé par les locataires. Et en appliquant strictement les règles des schémas départementaux de gestion cynégétique (SDGC). L’agrainage pourra être mis en œuvre à travers « la mise en place d’une convention fédérale cynégétique tri partite (FDC – ONF – locataire) responsabilisant chacun des acteurs » précise l’accord.
 - Une attention partagée, portée à la régulation des populations de chevreuil
 - Par ailleurs, l’accord prévoit de favoriser le prélèvement des chevreuils. Mais de manière adaptée notamment par le tir d’été. Ceci en raison de son impact en cas de surpopulation qui s’avère préjudiciable au renouvellement forestier.
 - D’une manière plus générale, la FNC et l’ONF sont favorables à la diversification des modes de chasse et s’engagent à promouvoir la valorisation des produits de la chasse par l’accompagnement à la création de filières venaison sur le territoire.



Pour lechasseurfrancais.com



Vidéo :

Comment la maladie d’Aujesky frappe vos chiens ? Un vétérinaire nous répond

 

Source :
chassons.com

Dans ce nouveau numéro de "Face à Baudoin", votre rendez-vous régulier d’entretiens sur les problématiques de la chasse et de la ruralité, notre rédacteur en chef, Baudouin de Saint-Léger, a souhaité recevoir Alexandre Balzer, président de la Société Centrale Canine et docteur vétérinaire, pour aborder les dangers et les conséquences de la recrudescence des cas de maladie d’Aujesky que connait notre pays depuis plusieurs mois, comme nous vous en avons déjà alertés.

 - Ce spécialiste va nous expliquer comment cette maladie, découverte en 1902 par un vétérinaire hongrois, Aladar Aujesky et qui touche prioritairement les suidés, porcs et sangliers, peut se transmette à nos chiens lors de la pratique de nos activités cynégétiques. Alexandre Balzer insistera sur l’importance d’empêcher les chiens de mordre un sanglier, première source de contamination de ce virus, appelé aussi « pseudo-rage » et qui provoque quasi systématiquement la mort des chiens infectés en 48 heures.
 - Le spécialiste nous présentera les symptômes de cette maladie mortelle pour le chien qui présente des signes évoquant la rage. Si un vaccin existe pour les porcs domestiques et peut être inoculé aux chiens, son usage est encore restreint en France et sa protection est malheureusement imparfaite. Par chance, cette maladie n’est pas transmissible à l’homme mais pourrait par contre toucher d’autres canidés comme le loup dont la prolifération chez nous est constaté de tous.
 - Découvrez les explications d’un vétérinaire spécialiste du chien à propos de la maladie d’Aujesky en regardant cette vidéo :

Par Frédéric Buszkowski
Pour chassons.com



   Indre-et-Loire - 37

Indre-et-Loire :
le blaireau responsable de plusieurs attaques sur des brebis

Voilà plusieurs années que les anti-chasse attaquent systématiquement les arrêtés concernant la période de chasse du blaireau complémentaire qui permettait notamment son déterrage. Seulement, le blaireau est responsable d’un certain nombre de dégâts sur les exploitations agricoles comme en témoignent les agriculteurs d’Indre-et-Loire largement concernés.
 

Un retour d’expérience qui fera réfléchir.

 - Après un article consacré la suspension de la période complémentaire de chasse du blaireau en Indre-et-Loire, les journalistes de La Nouvelle République ont eu un retour de la part d’un éleveur de brebis qui voulait témoigner de la réalité du terrain.
 - Ce dernier explique que certaines de ses brebis ont été attaquées par un ou des blaireaux qui n’ont pas hésité à consommer la viande sur des animaux encore vivants mais dans l’incapacité de se défendre.Par exemple, une brebis qui venait d’agneler s’est retrouvée avec une partie de son appareil génital consommé et les agneaux avaient disparus.
 - Une autre fois, une de ses brebis s’est retrouvée sur le dos, la pauvre bête n’a pas reçu d’aide du mustélidé qui sont loin d’être des aides précieuses comme l’expliquent les anti-spécistes mais au contraire, le blaireau a profité de cette opportunité pour manger une partie de sa tête.
 - D’autres anecdotes ponctuent l’article en question mais à chaque fois, les empreintes ne laissent aucun doutes sur l’espèce qui a joué à chaque fois le prédateur.
 - Coup dur pour les éleveurs qui, en plus de penser directement aux risques liés à la tuberculose véhiculée par le blaireau, ne seront pas indemnisés comme s’il s’agissait par exemple d’un loup.

Le blaireau, l’animal que l’on ne voit que peu mais qui est pourtant bien présent.

 - Les animalistes pourraient aisément être comparés à Saint Thomas, ils ont tendance à ne croire que ce qu’ils voient mais bien souvent quand cela les arrangent.
 - En ce qui concerne la chasse aux pantes par exemple, ils refusent de voir les études menées par les chasseurs en partenariat avec l’OFB et pour le blaireau c’est à peu près la même chose.
 - On ne voit que peu de blaireaux en journée car il est essentiellement nocturne. C’est aussi un mustélidé très discret et la conclusion des verts est simple : il n’y a pas de blaireaux si on en voit pas !
 - En réalité, les populations de blaireaux sont en recrudescence dans plusieurs départements Français. S’il ne sont pas toujours observés, les relevés d’empreintes et les déclarations de dégâts remises aux piégeurs, aux gardes ou à d’autres acteurs de la ruralité font de plus en plus mention de l’animal. Cette hausse d’activité est rarement liée à une baisse des effectifs.
 - Si les agriculteurs ne peuvent pas positionner des centaines de caméras de surveillance pour relever la présence de blaireaux dans les attaques, la Fédération d’Indre-et-Loire a pu confirmer que le nombre de blaireau était effectivement en hausse, notamment dans le Sud de la Touraine.

Par Nicolas Liégeois
Pour chassepassion.net



Retour%20Accueil


Me%20contacter%20par%20mail


https://static.pecheur.com/responsive/chasseur/dist-img/logo/Logo-Chasseur.png

   




https://www.traqueur-chasse.fr/wp-content/uploads/2020/04/Logo-traqueur-small.jpg
Vêtement de chasse

 


Chasseur.com
Traqueur-chasse.fr
chasseur-et-compagnie.com