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Willy Schraen, patron des chasseurs

SON ADORABLE DEDICACE


Vendredi 4 décembre  2020
 

Injures d’un député envers W. Schraen sur Twitter,
un jugement sera rendu le 2 février.

- Suite à la débâcle dans les médias au sujet des propos incompris sur la capture des chats dans le but de les stériliser par W. Schraen, le député des Bouches-du-Rhône Eric Diard avait publié des messages plutôt explicites sur le réseau social Twitter.

- Si l’on connaît la proximité du député avec des associations d’anti-chasse, on connaissait moins le côté malsain que certains de ses propos pouvaient atteindre.

 - Le président de la Fédération Nationale des Chasseurs ne s’est pas laissé insulter et a porté l’affaire en justice. Plusieurs journaux locaux rapportent l’information selon laquelle le procureur de la république du tribunal de Saint-Omer aurait requis 2000 € d’amende contre le député pour « des injures publiques caractérisées ». Le jugement sera rendu le 2 février 2021.
  - Si l’avocat d’Eric Diard plaide « un humour potache », il est difficile de croire que les tweets postés par le député soient réellement de l’ordre de la blague. D’autres tweets de la même période ont d’ailleurs attiré l’attention du procureur comme « Après la vache sacrée, le con sacré » et « Je ne couvre pas cet abruti. Les chasseurs devraient en profiter pour changer de président », il semble que le député des Bouches-du-Rhône possède un humour très spécial à lire ces quelques lignes.

- Les propos issus de la capture d’écran ci-dessus dans une réponse à un tweet de Rémi Gaillard restent tout à fait choquants « Le jour oú il vient à l’assemblée je vais le faire courir ce chapon ». L’avocat du député Les Républicains défend son client sur la base « de mauvais jeux de mots ». Chacun pourra juger de l’humour détonnant de cet homme sur les réseaux sociaux.

Par : Nico Amberian
Publié par : chassepassion.net

Samedi 21 novembre 2020

Willy Schraen demande la réouverture pleine et entière
de la chasse au 1er décembre
 
Le président de la FNC, Willy Schraen, a écrit hier à la secrétaire d’état à la biodiversité Bérangère Abba afin de lui demander la réouverture de la chasse dès le 1er décembre

Nonobstant que la sédentarité imposée par le confinement n’est pas bon pour l’équilibre personnel, Willy Schraen a aussi naturellement insisté sur le fait que la chasse de par sa nature est une activité outdoor qui favorise d’elle-même la distanciation sociale, et ne fait encourir aucun danger à ses pratiquants, comme au reste de la population.


Voici la lettre :
 


Publié par : chassepassion.net

Jeudi 12 novembre 2020

Chasse & Confinement :
Willy Schraen s’adresse à tous les chasseurs de France
dans une vidéo
  Nous l’attendions depuis plusieurs jours, la prise de parole de notre Président. Ce soir, il a souhaité parler à tous les chasseurs de France, chasseurs de petit comme de grand gibier, piégeurs, veneurs, archers. Il demande à tous les chasseurs de se serrer les coudes dans cette période si complexe. Nous vous invitons à visionner ce message important pour tous les chasseurs de France !
 
 
Publié par : chassons.com


Vendredi 6 Novembre 2020
 
Pas de Calais :
la chasse reprend et Willy Schraen
en profite pour moucher la Ministre !

 
 
Voici le communiqué de notre Président s’agissant de la chasse dans le Pas de Calais mais aussi de la vision de la chasse au niveau national pendant ce confinement !

Chers amis chasseurs,
 - Les dernières heures furent riches en rebondissement pour la chasse du Pas de Calais. Le confinement décidé par l’Etat avait exclu la pratique de la chasse, comme toutes les autres activités de nature et de nombreuses activités économiques.
Mais l’évidence de la régulation de certaines espèces pouvant causer des dégâts s’est rapidement imposée dans un dialogue entre l’état, le monde agricole et la FNC.
 - Une circulaire signée de la main de la secrétaire d’état, Bérangère ABBA a rapidement délégué les bonnes décisions à prendre aux préfets départementaux, à travers l’établissement d’un dialogue avec les fédérations départementales des chasseurs en réunissant les conseils départementaux de la chasse et la faune sauvage.
En application stricte de cette circulaire, qui identifie bien la problématique des dégâts provoqués par le grand gibier aux dépends de l’agriculture et de la sylviculture, il a été également proposé d’ouvrir les dérogations à toutes les espèces pouvant causer des dégâts, au cas par cas des situations locales, et également à la liste des nuisibles en vigueur dans chaque département.
Certains départements comme le nôtre, ont logiquement déposé des demandes extrêmement étayées concernant des espèces provoquant des dégâts en nombre important comme le lièvre, le faisan et le lapin.
Ces espèces, bien connues du monde agricole, rentraient parfaitement dans le cadre de la circulaire de la secrétaire d’état. Sans vouloir rentrer dans les détails d’une situation ubuesque, qui fera sûrement un jour l’objet de quelques chapitres livresques bien sentis, la secrétaire d’état s’est personnellement opposée de façon très dogmatique à ces espèces petit gibier, pourtant parfaitement identifiées dans sa propre circulaire.
En faisant une différence incompréhensible entre petit et grand gibier, la secrétaire d’état veut promouvoir la chasse comme une obligation, et non comme un plaisir qui peut servir l’intérêt général. Il y a donc plusieurs types de chasseurs, les machines et les autres.
A une époque où des députés nous proposent de soigner nos passions en utilisant des robots gibier, je n’arrive même plus à m’étonner de ces visions politiques à mille lieux de la réalité de nos territoires.
Une telle approche dogmatique humilie les ruraux chaque jour un peu plus.
Mais au-delà de cette nouvelle approche de la chasse sans âme et sans plaisir, le deuxième objectif de notre secrétaire d’état aura bien été de tenter de nous diviser à nouveau. Si la chasse du petit gibier, trop bien gérée par les chasseurs est une ligne rouge idéologique infranchissable à ses yeux, que pouvons-nous dire de la chasse du gibier d’eau et des migrateurs.
Depuis trop longtemps dans la ligne de mire de notre ministère de tutelle, il faut reconnaître qu’après la perte totalement dogmatique de la chasse des gluaux et d’une partie des limicoles, comment ne pas résister à l’envie de mettre un coup d’arrêt à cette activité de sentinelles sanitaires, pourtant essentielles à l’état quand les zoonoses comme l’influenza aviaire viennent de réapparaître en force en Europe. Et pourtant, si nous n’avions pas été là pour la peste porcine depuis deux ans, la situation ne serait sûrement pas la même pour l’ensemble de la production porcine française. Une bonne partie de nos chasseurs restera donc à la maison, à un moment où leurs actions auraient pu être bien décisives dans de nombreux territoires. Mais c’est ainsi, la ministre écrit, la ministre change d’avis, la ministre se contredit, la ministre dogmatise, mais la ministre a toujours raison, parce que c’est la ministre. Au final, le grand gibier est donc chassable, ainsi que les nuisibles du Pas-de-Calais, pigeon ramier compris.
Pardon d’employer le terme de chasse, mais je ne suis pas un animal à sang froid qui voit dans la chasse une pratique contrainte, dénuée de toutes émotions humaines. Nous assurerons donc une partie de nos missions de service public, que ce soit dans notre département, comme dans le reste de la France. Le déplacement est donc possible, en utilisant bien sûr les documents mis à votre disposition par l’état.
Si ce confinement nous permet d’exercer nos missions de service public, je n’oublie pas que certains d’entre nous ne pourront pas chasser.
Certains jettent de l’huile sur le feu, et tentent de culpabiliser ceux qui iront à la chasse vis à vis des autres.
Personnellement, je ne raisonnerai pas comme cela, et le bonheur des uns ne fait en rien le malheur des autres. Je vais donc plutôt continuer à me battre dans les jours qui viennent, pour que l’ensemble de nos missions de service public, qu’elles soient de régulation ou de veille sanitaire, soient respectées.
Toutes ces missions ne sont en rien des passes droit, ou des privilèges vis à vis du reste de la population, elles sont simplement les outils essentiels pour une bonne gestion de la faune sauvage au cœur de nos territoires, loin du dogmatisme des salons dorés du ministère de la transition écologique.
N’oubliez pas non plus mes amis que la COVID n’est pas une légende rurale, mais qu’elle se répand dans nos territoires chaque jour un peu plus, nous menaçant dangereusement ainsi que nos proches.
Pour ceux qui chasseront dans la nature dans les prochaines semaines, n’oubliez pas que seuls les imbéciles semblent ignorer que les gestes barrières et la distanciation physique sont le socle indiscutable de notre salut collectif.
Si je me dois d’en appeler à l’union de tous les chasseurs devant l’adversité de cette crise, j’en appelle aussi à la solidarité cynégétique qui doit nous animer.
Essayons un maximum d’intégrer dans les chasses possibles en ce moment, ceux qui n’auront pas la chance de poursuivre leur passion. Nos missions n’en seront que plus efficaces…


Prenez soin de vous,
Amitiés en St Hubert,
Willy SCHRAEN
Président de la FDC62


publié par : chassons.com

Samedi 24 Octobre 2020

Menaces de mort à l’encontre du patron des chasseurs :
une décision judiciaire décevante

 
  Le verdict du tribunal de Saint Omer concernant les 8 prévenus qui ont menacé de mort par voie électronique, Willy Schraen donne le ton d’une justice qui reconnait les 8 prévenus coupables. Les harceleurs qui menaçaient le patron des chasseurs et sa famille de mort sur la toile sont condamnés à suivre des « stages de citoyenneté » et à payer des amendes et des dommages intérêts.

 - Le procureur avait rappelé, le 24 septembre, que le président de la FNC, avait pris position lors d’une interview « live » en mai sur le site chassons.com non pas de façon personnelle mais en qualité « de personne chargée de mission de service publique ». Willy Schraen répondait aux questions des internautes sur l’impact des chats sur la biodiversité. Volontairement déformés par des influenceurs « anti-chasse » et sortis de leur contexte, ces propos ont provoqué un déferlement de haine d’une rare violence avec près de 2 000 appels de menaces et d’insultes sur les réseaux sociaux.
 - Voici ce qu’affirmait hier Willy Schraen « Je suis déçu par ce jugement dont les peines sont trop faibles alors que la culpabilité des 8 personnes est reconnue. Mais, derrière ce verdict, il ne s’agit pas de ma seule personne mais je pense à toutes les victimes de cet acharnement sur les réseaux sociaux qui peut être à l’origine d’actes de barbarie inqualifiable. L’actualité récente le montre. Même le prévenu qui purge une mise à l’épreuve dans une autre affaire, reconnu coupable, n’écope pas de prison ferme malgré la demande du procureur. J’ai donc décidé de faire appel de l’ensemble de ces décisions dans l’intérêt de ceux qui sont victimes de ce type de menaces et dont la liberté d’expression est ainsi travestie ».


Publié par : chassons.com


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