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Willy Schraen, patron des chasseurs

SON ADORABLE DÉDICACE

Samedi 26 novembre 2022

Pensées à Paris nos politiques publiques

sont inadaptées à nos territoires

 

A l’occasion du salon des maires de France qui s’est déroulé du 22 au 24 novembre à Paris, Willy Schraen, le président de la fédération nationale des chasseurs (FNC) et par ailleurs élu local d’une petite commune du Pas-de-Calais, a eu l’occasion de s’exprimer en faveur de la défense et du développement des communes rurales et a mis en avant le rôle joué par les acteurs du monde cynégétique. Nous vous livrons ici le contenu de son intervention :

 - « Notre 5ème république a quelque peu sous-estimé le rôle des communes, des villages et des maires, pour tenir sa promesse républicaine d’égalité des chances quel que soit son lieu de vie. Défendre notre pacte Républicain doit passer par une réappropriation et une revalorisation de l’échelon local. Le maire est celui qui reste pour tous les Français à portée d’écoute.
 - Si une forme de confusion géographique gagne certaines zones où des maires urbains veulent faire de leur ville la campagne et que leurs homologues ruraux souhaitent que leur campagne ressemble à la ville, le bon sens rural m’oblige à rappeler que la campagne ne sera jamais la ville. Toutefois, force est de constater que nos territoires ruraux sont entrés depuis quelques années en déliquescence…
 - Nous sommes, nous ruraux, trop souvent les parents pauvres des politiques publiques qui, pensées à Paris sont au mieux, inadaptées à nos territoires, voire contre productives. Je m’inquiète en tant qu’élu municipal de mon village du Pas-de-Calais et Président de la FNC, de la fracture idéologique et territoriale qui s’installe de plus en plus durablement entre ces deux mondes alors même que les Français expriment un désir croissant de ruralité. Dans ce contexte, la place du maire est un maillon essentiel de notre démocratie car nous avons de plus en plus besoin de proximité.
 - La Fédération nationale des chasseurs que je représente s’appuie sur un maillage territorial inédit avec 94 fédérations départementales qui mobilisent plus de 1 500 collaborateurs reconnus dans de nombreux domaines d’expertises. Les chasseurs s’investissent sur les territoires ruraux pour préserver l’environnement, restaurer sa biodiversité, sauvegarder la faune qu’il s’agisse d’espèces chassables ou non. Forte de son savoir-faire de terrain au service de la nature, cette organisation de la chasse française, unique au cœur des territoires, est agréée au titre d’associations de protection de l’environnement En effet, nos responsables et professionnels sont des interlocuteurs qui n’ont pas vocation à intervenir que sur les seules questions liées à la pratique de la chasse. Le développement économique durable, la surveillance et la sécurité… sont des défis à relever afin de faire mentir les qualificatifs peu flatteurs qui comparent nos territoires à des zones défavorisées ou à des zones à revitaliser !
 - Pour cette ruralité libre, heureuse et respectée que nous défendons et qu’il faut continuer à construire ensemble, nous avons des compétences à mettre au service des territoires ruraux et de leurs habitants
. »

Willy Schraen, Président de la Fédération Nationale des Chasseurs.

Par Frédéric Buszkowski
Pour :
chassons.com
Jeudi 24 novembre 2022
 

Willy Schraen demande une prime à la casse

 

Dans 5 ans, il faudra dire adieu au fusil de pépé. Pour remplacer les armes qui deviendront presque « inutilisables », Willy Schraen demande une aide à leur remplacement.

 - À partir du 15 février 2023, le plomb sera interdit à moins de 100 mètres des « zones humides » avant l’interdiction totale prévue dans cinq ans sur l’ensemble du territoire.
 - La commission européenne pousse depuis des années pour interdire le plomb dans nos cartouches. Son grand remplaçant, l’acier ne fait pourtant pas l’unanimité, loin de là. Son manque d’efficacité constaté laisse beaucoup de chasseurs perplexes. Pourtant il faudra bien s’y résoudre, dans quelque temps, il faudra soit casser sa tirelire pour tirer des substituts dans nos vieux fusils, soit acheter une nouvelle arme.
 - Selon la FNC si la Commission européenne impose une interdiction totale à terme, les conséquences seront catastrophiques pour la chasse populaire.
 - Sur le plan national, en moyenne le coût de remplacement des armes de chasse est estimé entre 650 et 975 millions d’euros et si les industriels se frottent les mains, il semblerait qu’ils n’aient pas pris en compte le nombre de personnes qui n’auront pas les moyens de se mettre aux normes.

 - Willy Schraen est plutôt pessimiste : « au niveau européen sur la chasse du petit gibier, nous allons perdre entre 20 et 50 % des chasseurs ». Il demande donc au gouvernement – qui jusqu’à présent a ouvert le carnet de chèques sans états d’âme – une « prime à la casse ».

Par :
Jeudi 24 novembre 2022

Loi anti corrida :

L’arbre qui cache la forêt des interdits
 

Alors que la proposition de loi déposée par le député insoumis Aymeric Caron et visant à interdire la corrida va être examinée à l’assemble nationale, Willy Schraen, le président de la fédération nationale des chasseurs (FNC) vient d’envoyer aux députés un courrier dans lequel il met en garde la représentation nationale contre ce projet de loi  qui n’est que le début d’une vaste offensive cherchant à détruire tout le mode de vie traditionnel des français et notamment ceux issu de la ruralité.

 - Selon le patron des chasseurs, cette proposition de loi est à 100 000 lieux des véritables préoccupations de nos concitoyens et son auteur Aymeric Caron « déteste les êtres humains et notamment « nous », les ploucs des campagnes ! » . En plein accord avec la vison du président de la FNC, nous vous livrons ici sa missive dans son intégralité:

« Madame la députée, Monsieur le député,

La corrida, une tradition qui a du sens et un atout pour la biodiversité
Pour le président des chasseurs que je suis, cette proposition de loi visant à interdire la
corrida proposée par un député de Paris (NUPES) est l’arbre qui cache la forêt des interdits que certains parlementaires de tout bord veulent imposer à nos concitoyens au nom de la morale, du dogme ou d’une pseudo défense des animaux.
Ce sont les mêmes qui rêvent de voir interdire la chasse à courre, puis la chasse tout court, puis la pêche, puis l’équitation et enfin toute forme d’élevage afin d’aboutir à la fin de la consommation de viande.
Ce sont encore les mêmes qui voudront demain interdire toute possession d’animaux de compagnie aux millions de français qui en détiennent et qui les aiment avec passion. Au nom de quel ordre moral veut-on rayer de la carte de notre quotidien des traditions respectables qui font non seulement la richesse de nos terroirs mais qui sont aussi un incroyable atout pour la biodiversité, avec des élevages extensifs de taureaux de combat de la Camargue aux Cévennes.
Comment peut-on envisager sérieusement de voter pour cette proposition de loi alors que son auteur voudrait que l’on ne tue plus les moustiques parce que les femelles qui piquent le font pour nourrir leur progéniture et qu’il a longtemps plaidé pour que l’on instaure un permis de voter afin d’interdire « au citoyen inculte et irresponsable de voter » ?
Il déteste tellement les êtres humains et notamment nous, les ploucs des campagnes,qui avons des traditions et des différences culturelles et patrimoniales, qu’il considère que l’animal est plus important que l’être humain.
Pour ma part, j’appelle les parlementaires à ne pas pratiquer la politique de la chaise vide et au contraire à se mobiliser en étant présent dans l’hémicycle pour s’opposer fermement à cette proposition de loi qui n’est que la première d’une longue série visant à interdire tout ce qui fait l’originalité et la force de nos territoires et de nos cultures régionales.
D’ailleurs je profite de cet appel pour remercier les députés de la Commission des lois qui ont parfaitement compris les enjeux et qui, à une large majorité, se sont prononcés mercredi dernier en Commission contre l’interdiction de la corrida.
Cette mosaïque des traditions est l’un des atouts de l’attractivité touristique de nos terroirs et de nos régions et l’un des éléments de la motivation de nos jeunes générations à vivre et à travailler dans nos campagnes.
Là comme ailleurs ce sont nos modes de vie que ces extrémistes de la protection animale veulent détruire sous le fallacieux prétexte de la mise à mort de l’animal.
Que l’on aime ou non la corrida, je crois sincèrement qu’elle a toute sa place dans
les régions où elle est pratiquée, car elle concoure, grâce aux éleveurs, à la préservation d’écosystèmes fragiles et à la promotion de valeurs qui font l’originalité de la culture taurine, dans ce face à face avec la mort.
D’ailleurs je voudrais conclure cet appel en faisant remarquer que la corrida est l’un des derniers endroits où la puissance et la bravoure de l’animal élevé de façon naturelle et sauvage peut être confronté au courage et au sang-froid d’un torero, dans un rituel où la mort est encore une réalité.
Mesdames et messieurs les députés, j’espère que vous mettrez un terme rapide à cette offensive antispéciste qui débute avec la corrida mais qui ne s’arrêtera pas là.
J’ai l’intime conviction que la vie quotidienne des femmes et des hommes qui vivent dans nos campagnes nécessite que l’on s’intéresse aux vrais enjeux ruraux, autour de la mobilité, de l’énergie, de l’économie locale, de la santé et des services publics.
Pourtant le groupe politique LFI a fait le choix de consacrer une partie de son temps parlementaire pour débattre de l’interdiction de la corrida, comme si c’était une priorité nationale.
Dans nos campagnes, c’est le pouvoir d’achat de nos concitoyens et l’avenir immédiat de nombreuses PMI-PME, des artisans et commerçants qui sont la réalité et la préoccupation de nos vies quotidiennes, dans la conjoncture internationale que nous connaissons et qui risque de durer.
Je compte donc sur vous pour que l’on cesse de chercher à diviser les Français et que l’on prône le droit à la différence et au respect des traditions culturelles.
Je vous prie de croire, Madame la députée, Monsieur le député, à l’expression de mes
sentiments les meilleurs. »

Willy Schraen
Président de la Fédération Nationale des Chasseurs

Par Frédéric Buszkowski
Pour : chassons.com

Mardi 22 novembre 2022
 

La tribune de Willy Schraen :
une réflexion pleine de bon sens

 

« Et si la chasse était la première d’une longue liste d’activés jugées amorales par des idéologues qui, dans une société en souffrance, sacralisent l’animal et idéalisent la nature ? »C’est par cette introduction que le patron des chasseurs a voulu livrer son regard sur l’état d’esprit dans lequel nous vivons, un état d’esprit imposé par un frange de la population. Un média lui a donné la parole, Le Journal du Dimanche  , en lui ouvrant les pages du quotidien avec cette tribune, malheureusement, pleine de vérités.

  • Les néoruraux veulent, en réalité, la ville dans nos campagnes.

 - Dans notre pays, la fracture territoriale est abyssale, et les néoruraux veulent, en réalité, la ville dans nos campagnes. Ils ne supportent pas nos traditions rurales qu’ils sont pourtant eux-mêmes venus chercher ! On est très loin du bon sens paysan, et c’est toute la différence entre une nature idéalisée et la vérité violente de celle-ci.
  - Ceux qui ne connaissent pas vraiment la nature ont d’elle une vision idyllique où la mort n’existe pas. C’est la cristallisation décrite par Stendhal lorsque la personne aimée est idéalisée.
 - Comme il ne passe pas un jour sans que les médias nous annoncent un futur apocalyptique à force de prévisions alarmistes, il est tentant de se rassurer en projetant sur notre réalité imparfaite le monde d’avant. Alors que l’homme a façonné la nature depuis des siècles, les activistes radicaux veulent le sortir de son biotope ! Les excès du monde « moderne » ne justifient pas qu’on passe à l’excès inverse, un monde totalement sacralisé. Dans l’histoire, ces périodes de basculement violent ont toujours amené leur cortège de désillusions, de précarité et de pauvreté.

  • Dans cette société en perte de repères, cette nouvelle morale se substitue au progrès, peut-être aussi parce que la religion n’est plus une valeur refuge.

 - Dans ma jeunesse, on se mobilisait pour défendre l’accès au progrès comme condition de l’émancipation des Hommes. Aujourd’hui, l’écologie, au nom d’une morale verte, humanise l’animal et culpabilise l’homme par un acte de contrition médiatique permanent. Cette dérive est anti sociale par excellence. C’est cocasse de voir l’extrême gauche se draper dans cette nouvelle moralité, en reléguant froidement la lutte des classes au placard.

  • Aujourd’hui, l’écologie, au nom d’une morale verte, humanise l’animal et culpabilise l’homme par un acte de contrition médiatique permanent.

 - La morale écolo-animaliste tient de plus en plus lieu de justice.
 - La culpabilisation des Français vis-à-vis de leur empreinte environnementale est devenue un sport national. Il y a 50 ans, on n’avait pas de pétrole mais on avait des idées ! Aujourd’hui, c’est chauffage à 19 degrés, col roulé et rationnement de l’électricité. Au pays des Lumières, on préfère le noir à l’espoir !
 - Alors que la morale écolo-animaliste tient de plus en plus lieu de justice, les activistes les plus extrémistes n’ont plus d’état d’âme, en s’affranchissant des lois et en menaçant l’intégrité des biens et des personnes qui ne pensent pas comme eux.
 - Dans ce contexte, les chasseurs sont les premiers pris pour cible car nous incarnons « le mal » absolu pour cette idéologie moralisatrice. Pourtant la chasse, c’est aussi la tradition, la transmission, le partage, la convivialité, mais surtout la pratique du bonheur à l’état pur !
 - Le « vivre ensemble », c’est-à-dire reconnaitre à l’autre une existence, est menacé par une poignée d’individus. Il est toujours plus facile d’interdire que de réfléchir quand le cadre s’effrite, et c’est pourquoi la radicalité finit par remplacer la raison. Des misanthropes, dont le plus célèbre est celui de Molière, on en a toujours connu. Aujourd’hui, on sait qu’ils sont vêtus de vert et qu’en plus de ne pas aimer le genre humain, ils considèrent les animaux comme leurs égaux ! Triste France.

Par :
Pour : lechasseurfrancais.com

Dimanche 20 novembre 2022
 

Loi sur l’alcool à la chasse :
« si cela doit sécuriser les gens, je dis banco, faisons-le »
dit Willy Schraen

 

Interrogé au sujet d’une évolution de la loi sur l’alcool à la chasse par les journalistes de chez Le Point, Willy Schraen, Président de la Fédération Nationale des Chasseurs a été franc et direct.

 - A la question de savoir s’il était pour ou contre l’imposition d’une limite de consommation d’alcool et de contrôles lors des actions de chasse, Willy Schraen a répondu « Un contrôle de l’alcoolémie, avec une limite à 0,5 g/l de sang, facile comme pour les conducteurs, si cela doit sécuriser les gens, je dis banco, faisons-le. »
 -
Les personnes qui vivent en contact avec le monde cynégétique savent très bien que la chasse d’aujourd’hui n’a plus rien à voir avec les caricatures des années 80. La sécurité à la chasse est un domaine qui a été très travaillé depuis de nombreuses années, bien avant que les écologistes et autres radicaux anti-chasse ne s’en soucient.
 - La question de l’alcool à la chasse n’est en réalité pas un problème pour les chasseurs car comme beaucoup le disent lorsqu’ils sont interrogés par les médias, nous sommes les premiers concernés. Qui accepterait d’avoir en face de lui ou d’elle une personne ivre en action de chasse ?

 - Si cela peut rassurer le grand public que des contrôles soient instaurés, comme le dit notre Président, faisons le.

Par : Nico Amberian
Pour : chassepassion

Vendredi 18 novembre 2022
 

Procès sur la mort tragique de Morgan Keane :

Willy Schraen et la FNC publie un communiqué
 

Alors que s’ouvre aujourd’hui devant le tribunal judiciaire de Cahors (Lot) le procès des acteurs de la mort de Morgan Keane, un jeune homme qui avait été mortellement fauché par le tir d’un chasseur participant à une chasse au sanglier, alors qu’il coupait du bois devant sa maison, la fédération nationale des chasseurs et son président Willy Schraen ont tenu à s’exprimer par un communiqué à destination de la presse sur le site internet de la FNC. Nous vous livrons ce texte dans son intégralité :

« Le 2 décembre 2020 à Calvignac, dans le Lot, Morgan Keane avait été mortellement touché, dans son jardin, par la balle d’un chasseur lors d’une battue aux sangliers. Dans cette affaire sont engagées la responsabilité du chasseur auteur du tir mais aussi celle du directeur de battue.
 - La FNC fait confiance à la justice afin que toute la lumière soit faite sur les circonstances de cette battue qui a coûté la vie à Morgan Keane et que les manquements soient sanctionnés.
 - La FNC condamne fermement ceux qui, par le non-respect de règles élémentaires de sécurité, provoquent des accidents et portent atteinte à l’image et aux valeurs de la chasse. C’est pourquoi elle soutient clairement la Fédération départementale des chasseurs du Lot (FDC46) , représentant les 6 500 chasseurs du département, tous ébranlés par ce drame, qui s’est constituée partie civile.

 - Pour Willy Schraen, président de la FNC : « La sécurité à la chasse est ma préoccupation permanente en tant que Président de la FNC. Les chasseurs qui ont des comportements irresponsables en matière de sécurité n’ont rien à faire dans la communauté des chasseurs et nous devons tendre vers le 0 accident. Face au tribunal médiatique et à la justice populaire qui ne manquera pas de désigner ses coupables, je demande à tous les protagonistes de cette affaire de faire preuve d’un minimum de respect que l’on doit à la victime, à ses proches ainsi qu’aux prévenus ». »

Par Frédéric Buszkowski
Pour : chassons.com


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