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Willy Schraen, patron des chasseurs

Source: sudradio.fr

                                                                            
Samedi 5 Septembre 2020
 
 Willy Schraen : "Les chasseurs sont les premiers écologistes"

    Willy Schraen, président de la Fédération nationale des chasseurs, était l’invité d’André Bercoff jeudi 3 septembre sur Sud Radio dans son rendez-vous du 12h-13h, "Bercoff dans tous ses états".

 - Dans son dernier livre "Un chasseur en campagne (éditions du Gerfaut)", Willy Schraen tente de redorer l'image du chasseur et au-delà de ça, du monde rural, régulièrement écorchée par les écologistes. D'ailleurs, selon le président de la Fédération nationale des chasseurs, le chasseur serait "le premier des écologistes", et le rural, "le dernier des hommes libres".

 
La chasse, nécessité écologique ?
 - C'est une position qui pourrait faire bondir les ayatollah de l'écologie. Mais Willy Schraen persiste et signe : "Les chasseurs sont les premiers écologistes parce que c'est la vérité", insiste-t-il. S'il respecte les différentes visions de l'écologie, le président de la Fédération des chasseurs voit une erreur "fondamentale" dans la démarche partisane des écologistes. "L'écologie ce n'est pas politique", estime-t-il. Dans les faits, Willy Schraen nous invite à compter précisément ce que font les chasseurs "une fois qu'ils ont leur arme".
 - Plantation de centaines de kilomètres de haie chaque année, de centaines de milliers d'arbres par an, recensement de la faune et de la flore... "Quand l'État chiffre tout ça, ça représente 3 milliards d'euros écosystémique", se félicite le représentant de la chasse. "Vous pensez qu'il y a beaucoup d'associations écologistes qui peuvent se prévaloir de faire 3 milliards d'euros de cadeau à la biodiversité et à l'écologie ?", interroge-t-il. Un défi relevé par les chasseurs.

"Comprendre la nature de l'intérieur"
 - Pour Willy Schraen, "la chasse est une vraie introspection de la nature", pour qui cela permet de "comprendre la nature de l'intérieur". "On est aujourd'hui dans un monde très contemplatif où l'on regarde beaucoup de choses de la terre", observe le chasseur. "La chasse, comme d'autres activités rurales, c'est une immersion dans la nature", témoigne-t-il. "On vit la nature comme quelque chose qu'il faut préserver et qu'on aime mais qu'aussi on doit gérer de différentes façons", remarque le président de la fédération.
 - "La chasse c'est un choix de vie, avec des codes, des valeurs immuables comme celles de la compréhension, du partage, de la fraternité", relate l'auteur qui met en avant "des valeurs de tolérance et de liberté". "J'aime à dire que les ruraux aujourd'hui sont les derniers hommes libres. Il a une liberté d'agir et de penser dans son milieu", remarque Willy Schraen.

Publié par : sudradio.fr

Jeudi 27 Août 2020
Menaces et insultes :
le compte Facebook de Willy Schraen suspendu


 
C’est le monde à l’envers mais hélas nous ne sommes pas surpris. Il nous est arrivé la même chose il y a quelques années avec Chasse passion (un simple message d’alerte à l’époque car il s’agit d’une page et non d’un compte personnel).

 - Ce matin, Willy Schraen a rendu publiques des menaces de mort reçues en message privé sur Facebook par un certain Guillaume Lecomte afin de montrer le déferlement de haine qui se déverse actuellement sur la chasse mais également sa personne.
 - Quelques heures après, Facebook a arbitrairement suspendu pour une période de 24h son compte, sûrement après que des robots ont examiné les copies d’écrans et jugé automatiquement que les menaces provenaient de son compte.

 - Quand ont voit le nombre de signalement de profil anti-chasse appelant publiquement à tuer des chasseurs qui restent sans suite, on est en droit de se poser de nombreuses questions….

 

Source : chassepassion.n

Publié par : chassepassion.net

Mercredi 26 Août 2020
Willy Schraen, le patron des chasseurs :
"Tuer des animaux, ce n’est pas violent, c’est simplement nos racines"
- VIDEO



Ce matin, Willy Schraen, le Président de la Fédération nationale des chasseurs, était l'invité de Jean-Marc Morandini dans "Morandini Live" sur CNews et Non Stop People à l'occasion de la sortie de son ouvrage "Un chasseur en campagne" (éditions Gerfaut)

 - "Les chasseurs, ce ne sont pas du tout des salauds. (...) Je ne comprends pas que la chasse puisse choquer. Je pense que la chasse a un vrai problème. Ça fait 50 ans qu'on se cache et qu'on ne s'explique pas. La chasse c'est quelque chose qu'il faut expliquer. La plupart des gens qu'on emmène découvrir la chasse nous disent 'ce n'est pas comme je pensais'. Dans la chasse, on tue un animal, on le mange. Tout cela, je l'assume", explique-t-il, en exclusivité, en précisant "aimer tout ce qui se passe autour de l'acte de chasse".
 - "Est-ce que j'ai du plaisir à aller à la chasse, à traquer un animal et à le tuer ? La réponse est oui. J'aime tuer des animaux dans le cadre de la chasse. C'est naturel pour un être humain de chasser un animal (...) Les chasses à courre, c'est vraiment ce qui représente le mieux la nature. On reproduit la chasse comme ça se passe dans la nature", a continué Willy Schraen.
 - Et d'ajouter : "Je trouve anormal qu'on n'aille pas à la chasse. Ça tue tous les jours dans la nature. Qu'est-ce qu'il y a de plus violent que la nature ? Il faut juste la connaitre quand on vit dedans. C'est normal de tuer un animal, de le chasser, de le convoiter. C'est un acte normal pour l'espèce humaine".
 - Pour Willy Schraen, "la chasse, ce n'est pas violent" en évoquant nos "valeurs ancestrales". "Tuer un animal, c'est n'est pas violent du tout. Ou alors tout est violent dans la nature et dans la société de consommation. Tout ce que l'on mange, il faut quand même le tuer (...) Je suis d'accord, on n'a pas besoin de chasser pour se nourrir, mais c'est un grand plaisir. J'aime passionnément les animaux. Dès que je pose mon fusil, je passe mon temps à m'occuper des animaux et de la nature", a-t-il conclu.


Publié par : jeanmarcmorandini.com

Mardi 25 Août 2020
Le président de la FNC est sur tout les fronts !

RTL, RMC, CNEWS la semaine dernière, voici Willy Schraen au micro de Bruce Toussaint à l’antenne de BFM TV ce lundi.

Voici un extrait :


Publié par : chassepassion.net

Vendredi 21 Août 2020
« Un chasseur en campagne »
Interview exclusive de Willy Schraen au sujet de son premier livre.
 

Publié par : youtube.com

Jeudi 20 Août 2020
Pourquoi Willy Schraen a souhaité écrire un livre
pour défendre la chasse et le monde rural ?

Depuis plusieurs jours et avec l’appui de la présence d’Eric Dupont Moretti au sein de la préface du livre Un chasseur en campagne les médias ont fait écho de la sortie de l’ouvrage de Willy Schraen. Joint au téléphone hier, il nous a indiqué être toujours menacé et ce chaque jour depuis l’affaire du chat il y a désormais cinq mois. Cet écrit sort à point nommé compte tenu de la fracture qui se révèle chaque jour un peu plus entre les  utilisateurs connaisseurs de la nature et les ayatollah de la protection animale. Engagement politique, fracture sociétale ou défense de la ruralité, nous avons souhaité connaître les raisons profondes de l’écriture d’un tel ouvrage.

Willy Schraen, le titre de votre livre « un chasseur en campagne pour la défense de la ruralité » est très clair, est-ce le début d’un engagement politique ?
Avec ce livre, je suis en campagne pour les idées pas pour les urnes ! Je suis un militant de la ruralité. Depuis mon adolescence, je suis engagé dans le monde associatif parce que je suis un rural passionné qui aime défendre les valeurs que m’ont été transmises par mes parents et mes grands-parents. Dans nos campagnes, le tissu associatif est le garant d’une dynamique citoyenne qui transcende les générations et qui fait notre bonheur au quotidien. Que l’on soit membre du club sportif ou de l’association culturelle, de la société de pêche ou de l’association locale de chasse, chacun se doit de participer à l’animation collective dans le territoire où il a ses racines ou alors où il habite. C’est donc tout naturellement que je suis devenu conseiller municipal de mon village dans le Nord Pas-de-Calais, à Bayenghem-lès-Eperlecques. Je suis content d’aider à améliorer la vie quotidienne de nos enfants comme de nos ainés. Alors, ce livre, ce n’est donc pas le début d’un engagement politique mais une autre façon de contribuer à la défense de nos valeurs rurales. Elles sont partagées par des dizaines de millions de citoyens et je ne supporte plus que certains ayatollahs de la protection animale ou de la nature veuillent les remettre en cause au nom d’une idéologie sectaire.

Le monde rural est-il assez entendu par le politique selon vous?
La réponse est clairement non même si j’ai une véritable relation de confiance avec le Président de la République, Emmanuel Macron car il a eu la volonté de soutenir des réformes courageuses concernant la chasse et la biodiversité alors qu’aucun de ses prédécesseurs n’avait osé s’y aventurer.
Néanmoins, le retard à rattraper pour construire une vraie politique rurale ambitieuse et digne de ce nom est considérable. Il y a plus de 30 ans que les ruraux sont les grands perdants des politiques imaginées à Paris et à Bruxelles. La multiplication des normes et des procédures, souvent sous couvert d’une écologie punitive, rend insupportable la vie quotidienne des agriculteurs, des artisans, des commerçants, des chefs d’entreprises, des professions libérales, des chasseurs, des pêcheurs et des maires ruraux. Dans mon livre je dénonce cette fracture sociétale qui a conduit entre autres à l’émergence des gilets jaunes, après une série de nouvelles contraintes du fait de l’ancien ministre Nicolas Hulot autour de l’augmentation des taxes sur le diesel et le passage aux 80 km/h. Les gens qui comme moi, vivent à la campagne ou dans les petites villes, n’en peuvent plus de l’arrogance des technocrates et des écologistes de salon.  On ne peut pas rester sans rien faire. Il faut que les ruraux s’engagent et se fassent entendre sans honte et avec passion car notre vision du monde de demain est la bonne. Elle est dans une écologie pragmatique, respectueuse des traditions et tout à la fois moderne et dynamique. C’est le témoignage que je porte en étant un rural parmi les autres.


C’est quoi être un rural aujourd’hui ?
Etre rural ; ce n’est pas seulement vivre à la campagne, c’est un état d’esprit et un mode de vie. Bien sûr, la chasse et la pêche sont des valeurs fortes de ce monde rural mais nos villages ne se résument pas à ces activités légales qui doivent être respectées.  On m’accuse parfois comme patron des chasseurs de France de réduire la ruralité à la chasse mais c’est un mauvais procès d’intention. Je suis d’abord un passionné de mon terroir et de tous les terroirs de France et j’entends défendre nos valeurs communes.
Ma conviction profonde est que l’avenir de notre beau pays qu’est la France va se jouer dans nos campagnes. C’est donc d’un véritable plan Marshall pour la ruralité dont la France a besoin. Au lieu de cela nos opposants imaginent un référendum d’initiative partagée (RIP) qui veut interdire des activités rurales légales et imposer des interdictions partout !
Et ce sont ces mêmes extrémistes de la cause animale qui ont découvert les joies d’une campagne vivante et accueillante pendant le confinement. On marche sur la tête et il est grand temps que les ruraux, qui vivent la nature de l’intérieur et la pratiquent au quotidien, revendiquent leur identité.  Qui a oublié que près d’un Français sur trois vit dans nos campagnes. Cela commence à faire du monde et chacun sait que la colère n’est jamais bonne conseillère.


Vous plaidez, dans votre livre pour l’union sacrée de la ruralité. Elle est difficile à mettre en œuvre ?
L’un des problèmes que je soulève dans mon livre est cette logique d’affrontement violent qui marque notre société actuelle. Il y a toujours eu des individus qui ne chassaient pas, qui ne mangeaient pas de viande ou qui rêvaient de mettre sous cloche la nature et le monde animal. Mais aujourd’hui, les tribunaux populaires fleurissent sur les réseaux sociaux pour y juger ceux qui pensent ou vivent différemment. Penser autrement que ces nouveaux extrémistes verts devient dangereux et les menaces de morts pleuvent. Dès que l’on s’oppose à ces groupuscules intolérants ou à leurs porte-parole « people », on devient d’affreux lobbyistes. Leur vision caricaturale dépasse largement la chasse mais c’est leur première «  tête de turc » avec l’élevage.
Après la chasse puis l’agriculture en général, ce sera la détention de tous les animaux domestiques, chiens, chats, chevaux entre autres qui sera dans leur collimateur. Bref c’est la liberté de choix de vie de chacun qui est menacée par ces extrémistes véganes et autres activistes de la protection de la nature. Il ne s’agit pas de nier les problèmes écologiques ou de bien-être animal mais il faut trouver une réponse collective et pragmatique, en concertation avec celles et ceux qui sont concernés au quotidien.  Cela va sans doute surprendre, mais, même s’il y un passif important entre nous, je suis convaincu que nous finirons par signer des accords avec la plupart des associations de protections de la nature et de protection animales qui ont des responsables pragmatiques.  Les chasseurs, premiers écologistes de France, ce n’est pas ni un slogan marketing, ni une provocation, c’est la réalité d’un monde rural qui s’assume et qui est pluriel.


Que défendez-vous au fond dans ce livre ?
Nous devons tous devenir des écologistes mais dans le bon sens du terme. Je défends une écologie participative et ouverte. C’est-à-dire à l’opposé du dogmatisme et du monopole de l’écologie par les écologistes. Nous devons lutter contre la confiscation de la nature que veulent nous imposer les ultras de l’écologie. La chasse raisonnée donne la responsabilité aux chasseurs d’être, sur le terrain, les garants de la protection de la nature où l’homme a toute sa place. Relancer la vie économique sur les territoires ruraux nécessite de sortir de cette logique de l’écologie punitive. Tous les acteurs de la ruralité doivent être mobilisés. Prenons les agriculteurs par exemple. Si j’étais en responsabilité, je flècherais une partie des fonds publics dédiés à la biodiversité vers le monde agricole et forestier car la vraie écologie se trouve dans ces territoires.
A l’échelle des communes, il devient urgent de donner aux maires ruraux de réels pouvoirs et pas seulement celui d’être à portée d’engueulade de leurs administrés ! Il faut renforcer les moyens des élus ruraux pour que les contraintes et les normes soient adaptées à la spécificité des territoires et à la réalité de l’activité économique en milieu rural.
Nous avons un patrimoine naturel et rural exceptionnel dans notre pays avec des femmes et des hommes qui vivent et travaillent dans ces terroirs. Il faut donc associer celles et ceux qui agissent au quotidien plutôt que de les exclure.
Il faut les encourager plutôt que de les punir, il faut les respecter même lorsque leurs pratiques sont minoritaires, il faut promouvoir leurs valeurs et permettre au plus grand nombre de les découvrir.


Pour commander ce livre en ligne :
https://www.editionsdugerfaut.com/produit/un-chasseur-en-campagne/

Publié par : chassons.com

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